SpaceX passe à l’action. Les premiers tests sur la nouvelle version de sa mégafusée débutent. Objectif : la Lune, puis Mars.
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Oh le beau suppo 
Le colosse de 71 mètres est en outre doté d’un système de séparation à chaud qui permettra au deuxième étage d’allumer ses moteurs avant même la séparation d’avec le booster.
Comment est-ce possible ? il faut bien évacuer le gaz quelque part, non ?
T’inquiète pas, Elon à pensé à tout 
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Le haut du booster est ajouré pour laisser passer les gaz d’échappement du Starship. On le voit bien sur la photo d’illustration de l’article.
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Il y a un « hotstaging ring » entre les deux étages, un « étape intermédiaire » en forme d’anneau, permettant l’évacuation des gaz sur les côtés et un bouclier thermique protège le haut du booster.
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Et voilà, j’ai encore envie de jouer à Kitten Space Agency …
Regarde les derniers test de Starship sur youtube. Ils le font depuis l’été 2024 de mémoire.
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À terme, la firme ambitionne de produire 1 000 Starship par an dans le but de coloniser Mars.
Il faut arrêter avec la désinformation. Non, aucun StarSuppo ne mettra le patin sur Mars. Et pour l’instant, aucun n’est en mesure de le faire sur la Lune. Tout dépend de la possibilité de ravitailler de manière fiable en orbite. Ce n’est pas juste transférer du carburant d’un réservoir à un autre, c’est transférer, à partir de 10, 15, voire 20 ou plus, fusées, du carburant d’un réservoir vers un autre beaucoup plus grand et déjà partiellement rempli. La répétabilité de l’opération est cruciale.
En fait, ils ont même commencé en 2023.