Microsoft teste une place de marché où chaque « citation » d’un article dans une réponse générée déclencherait un paiement à l’éditeur concerné. Un geste attendu par la presse, mais qui devra prouver sa transparence et son efficacité économique.
Donc les prix des abonnements vont exploser…
Evidemment, et même sans ça ils augmenteront. Ca va faire comme la svod : on attire les pigeons et quand ils sont bien accros on monte les prix.
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Sacré Microsoft ! Enfin, ça a du bon pour les éditeurs. Non, mais sans blague, c’est vrai, la question de la rémunération des oeuvres en vertu des droits d’ateurs pose question avec l’IA.
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Intéressant comme approche et plutôt légitime même si au final tout provient d’une source dans les LLM.
En revanche je serais pas surpris que certains éditeurs cherchent à inverser le sens de ce modèle économique : si vous voulez qu’on vous cite en source plutôt que votre concurrent, il faudra payer.
Oui, à priori ça ne concerne ici que les cas de RAG, où le chatbot a fait une recherche sur Internet, puis injecté les résultats de la recherche dans le prompt pour orientier la réponse du LLM.
Dans une réponse brute du LLM, il n’est pas vraiment possible d’identifier les sources, la réponse brute sans source injectée dans le prompt est basée sur la connaissance générale du LLM, on ne peut pas déterminer la source exacte de l’information.
C’est pareil avec un humain qui écrit un rapport sur un sujet d’ailleurs, il y aura d’une part des informations venant de sa connaissance générale, pour lesquelles il ne saura pas citer sa source, d’autre part les informations qu’il a collectées spécifiquement pour faire son rapport, et pour lesquelles il saura citer une source.
D’où l’importance de bien évaluer le coût de cet appel, car ce qui est sourcé aujourd’hui peut alimenter le LLM et devenir une connaissance générale demain.