Commentaires : Pour esquiver de nouvelles polémiques, Pornhub va désormais demander une preuve de consentement avant de mettre en ligne des vidéos

Pornhub veut dorénavant garantir le consentement des acteurs présents sur sa plateforme. Elle va ainsi à l’avenir demander de nouvelles preuves.

« Un formulaire de décharge » :thinking:

12 « J'aime »

Je trouve que ça se tient, ça colle avec le sujet :smiley:

1 « J'aime »

Quid des milliers (des millions ?) de vidéos déjà en ligne ?
N’importe qui ayant été été filmé à son insu, abusé, voir pire (de nombreuses vidéos sur ces sites) et dont les vidéos ont été postées à des dates antérieures, restera en ligne ad vitam ?
Ça ressemble à une énième magouille pour donner faussement le change aux autorités qui resserrent l’étau.

Voir le reportage de France 2 qui montre à quel point les grandes plateformes du X sont toutes mafieuses et prêtes à tout :

1 « J'aime »

Normalement toutes les vidéos du site ont été supprimées il y a quelques années, et seuls les chaînes qui ont fourni leur accord et un papier d’identité officiel ont vu leurs vidéos remises en ligne

Le reportage de France 2 montre que c’est l’enfer pour faire retirer une pauvre vidéo. Ça peut prendre des mois sans garantie de succès alors qu’ils possèdent de nombreux sites et qu’il faut faire la même chose pour chaque vidéo postée. Sans oublier que plus une vidéo est présente longtemps, plus elle se retrouvera sur les plateformes concurrentes qui se piquent les vidéos entre elles, en se moquant du droit le plus élémentaire.
Ce n’est pas un jugement moral (certains pornos sont très bien faits), mais quand des viols amusent des gamins de 13 ans qui n’arrivent pas à discerner le faux du vrai (et pas qu’eux), il y a un gros problème.

1 « J'aime »

J’ai déjà entendu ça, mais pour en avoir reporté pas mal elles ont toutes été supprimées dans la semaine donc ça m’étonne.
Après sur des sites moins « réputés » j’imagine que c’est plus compliqué

Les grandes plateformes connues possèdent des « sites vitrine » et des « filiales », donc d’autres sites moins regardants. Quant aux plateformes hébergées en Europe de l’Est (dont la plus grosse est détenue par des français), là c’est de la pure boucherie. C’est même plus du porno. Le reportage de France 2 aborde ces points. Édifiant.