Commentaires : "Plus d’un week-end par mois perdu à cause du « doomscrolling »", cette statistique alarmante signée OnePlus

Sans le savoir, vous êtes peut-être atteint de « doomscrolling », et la marque OnePlus entend bien vous débarrasser de ce fléau numérique.

Le « doomscrolling », c’est cette habitude compulsive de faire défiler sans fin des contenus souvent anxiogènes ou insignifiants sur nos smartphones.

Moi le défilement morbide (la France et ses anglicismes :roll_eyes:…) ça me prend parfois sur PC avec Clubic en fonction de l’actualité. Une petite fuite de données par ici, une petite faille logicielle par là, une nouvelle petite loi sur le numérique pondue par des politiques qui ne pigent rien à ce qu’ils font, une nouvelle annonce débile de Musk ou Trump, et j’en passe.

Rien de tel pour se remonter un bon coup le moral ! Merci Cluclu :smiley:

2*31 = 62. (vous dites bien « plus de »)
Un weekend = 48h.
Le compte n’y est pas ! c’est donc pire :slight_smile:

moi c’est, un forfait red imbattable par ci, un forfait bouygues qui met KO la concurrence par là, une offre vpn à -98% par ci, une autre qui m’explique comment me protéger de l’anonymat par là. :grin:

Le monde se divise en 2 catégories d’individus : il y a ceux qui doomscrollent et ceux qui naviguent sur internet.

Dans un autre topic, je commente sur ces nouvelles tech qu’on nous balance sans réfléchir aux implications ni aux abus. Le doomscrolling, pour garder la même expression que l’article, en est un exemple parfait.

Ça ne sert à rien, à part nous garder accrocher à notre téléphone en piratant les circuits de la récompense du cerveau. Ce faisant, c’est nuisible à plus d’un titre : ça désensibilise notre cerveau, nous fait perdre notre précieux temps et nous habitue à des formats courts qui nous rendent incapables de nous concentrer des des sujets ou des formats plus longs et plus construits.

Des choses comme celles là, notre monde moderne en est truffé et on commence tout juste à mesurer la nocivité de certaines d’entre elles. Mais bien entendus, arrivent au galop les défenseurs de ces pratiques et des sociétés qui en tirent profits. Armés d’arguments tels que « c’est aux parents de surveiller, pas aux entreprises », « c’est un obstacles à la liberté d’entreprendre ET de scroller, qui est un droit fondamental » ou encore « il n’y a aucune étude qui montre que c’est dangereux, donc tout va bien ».