Le trafic Internet est en partie utilisé par quelques grandes plateformes. Découvrez aujourd’hui qui dévore le plus de débit sur la planète.
Je pense que la centralisation de tous les médias culturels vers le streaming est une mauvaise idée (à part pour les reseaux sociaux). A terme on sera tous dépendants d’une connexion internet pour jouer, regarder un film ou ecouter une chanson et plus rien ne sera possible en offline comme ce fut le cas avant. A ce rythme, on aura bientot besoin d’une connexion obligatoire pour faire un café. La disparition progressive des supports individuels n’est à mon sens pas une bonne chose car le streaming ne resisterait pas à une panne de courant, de reseau ou en cas de guerre…
Aussi, le streaming généralisé dans la culture conditionne indirectement les esprits à la disparition du droit de propriété remplacé par un abonnement à vie selon un modele ultracapitaliste et ultra rentable.
et dire que youtube 3/4 de son traffic c’est de la M.E.R.D.E
Il ne faut généraliser, il y a des sites intéressants sur des thématiques bien précises.
Cela peut être soit des tutoriels pour apprendre un outil. Dernièrement pour ma part, grace à une vidéo Youtube, j’ai découvert pas mal d’astuces sur Obsidian
Mais tu aussi plein d’autres thématiques intéressantes, qui explique en détail l’actualité économique, font découvrir des anciens modèles automobiles mythiques, …
Pour l’audiovisuel, le consommateur est attiré par les catalogues proposés par les différents acteurs de streaming. Il est plus rare de s’abonner à plusieurs services musicaux qu’à des services de VOD multiples, où la division du catalogue est bien plus présente. Il devient zombi puisque ça engendre des pratiques de consommation malsaines comme le binge watching sans compter un éventuel parti pris sur certains sujets. L’espace disque occupé ne sert qu’à stocker les épisodes suivants dans un format inexploitable (DRM et fichier chiffré).
Pour les réseaux sociaux, ce sont les Shorts qui créent aussi une armée de zombies ayant en plus des troubles de l’attention.
Pour les jeux vidéos ce sera plus ou moins contraint. Les GPUs sont devenus des produits de luxe et disparaitront lentement du marché grand public. Les institutions et entités (supra)gouvernementales seront là pour assécher le marché. Les consoles nécessitent déjà un abonnement pour déverrouiller une grande partie des fonctionnalités.
Car la plèbe n’a pas le droit d’accéder à une telle puissance de calcul, les gouvernements ont peur de voir émerger une IA non alignée/régulée ou voyou. Et par conséquence, l’IA ne sera jamais open source.
La fin de la propriété automobile et immobilier seront aussi contraints au péquin, les politiciens y songent grandement ces dernières années. Au nom de plusieurs raisons parfois discutables.
Puis comme les économies de pays actuellement developpés sont souvent basées sur la production de services et que l’IA finira par remplacer l’être humain, est-ce que l’humanité, en dehors de l’élite, saura rebondir et revendiquer le droit d’exister? Car à ce point ce sera soit le revenu basique universel combiné à un système de crédit ESG individuel pour les petites gens, soit une extinction de masse d’useless eaters.
Et Steam doit se trouver entre la 11 et la 15ème place.
Ben oui une taxe pour que les majors augmentent leurs tarifs et que nous soyons au final ceux qui payons la taxe !!!
Cela peut être une solution, comme cela la concurrence pourra proposer des prix inférieur et la concurrence sera relancé.
Un peu comme à l’époque, ou Orange, Club Internet avaient été obligé de proposer un prix minimum par l’ARCEP pour permettre à Free de rentrer sur le marché, avec une offre plus alléchante.
Pour faire simple, la vraie « vie », celle qui a prouvé sa durabilité, est dans la diversité de moyens pour l’adaptation progressive aux changements du milieu.
La centralisation, l’unicité des moyens sont vouées à l’échec. Après un pic d’optimisation le frein à l’adaptation survient et la disparition suivra d’autant plus vite. La disparité des milieux interagissant le château de cartes s’effondre globalement ensuite.