Commentaires : Planet : dans les coulisses du géant de l'observation terrestre

Basée à San Francisco, l’entreprise se prépare pour d’intenses semaines avec une nouvelle génération de satellites SkySats prête à décoller. Clubic a pu poser quelques questions à Mike Safyan, le Vice-Président des lancements de Planet.

1 « J'aime »

Purée t’as même plus le droit d’aller pisser sans qu’un satellite te mate…

4 « J'aime »

"Des clichés de seulement 1 m de résolution à l’origine, puis 72 cm grâce à un post-traitement logiciel, et une longue durée de vie… "

En gros un pixel représente une surface de 1m^2, ils n’arriveront pas à te voir pisser.

Bon après ça commence à devenir invasif avec ce genre de résolutions.

C’est 50 cm dans la dernière version. Pour peu que vous soyez un peu en surpoids, vous pourriez bien occuper deux pixels.

3 « J'aime »

Un pixel affiche une couleur, pour voir pisser quelqu’un faudrait bien plus que quelques pixels :laughing: Pour distinguer quoi que ce soit d’ailleurs.

1 « J'aime »

Parle pour toi :smile:

2 « J'aime »

C’est vraiment exploitable leur service? Ils mettent leur résolution en avant mais aussi leur fréquence de passage. Sauf qu’il me semble que la plupart du temps la terre est recouverte de nuages. D’ailleurs, très souvent, les clichés d’illustration sont des clichés de zones désertiques… Il serait intéressant de savoir combien il y a de passages exploitables par rapport aux passages réalisées selon les régions. A Londres, Oslo, Moscou… ça doit pas être glop

L’avantage avec 12 passages par jour c’est que s’il y a des nuages à 9h30, il n’y en a pas forcément à 11h. A moins d’habiter en Ecosse ou dans le fin fond du jura, ça ne manque pas de clichés.

Faut pas désespérer, il y aura surement d’autres occasions pour l’exhiber. :wink:

1 « J'aime »

J’ai eue une idée formidable relier tous les Satellites et les images reçues par ceux ci sur une même boule de cristal connectée à internet - et de reproduire sur sa surface en temps réel l’image résultante de l’observation de la planète terre. Pour cela faire une sphére d’un diamètre de 40 centimètres, recovrir cette boule de cristaux liquide coloré ou de LED (Light Electroluminecente Diode) pour afficher cette image une combinaison de tous les récepteurs satellites. Poser cette boule sur une table pour l’observer !

1 « J'aime »

Il semblerait qu’ils soient nombreux dans le secteur privé à se lancer dans l’imagerie spatiale…C’est un nouvel eldorado? Entre les anciens et les nouveaux : Maxar (ex-DigitalGlobe), BlackSky…

1 « J'aime »

C’est la deuxième vague de l’Eldorado, si on veut. La première a eu lieu entre 2013 et 2017 lors de l’installation de ces acteurs qui ont gagné gros en vendant leurs images à Google, au gouvernement américain, etc.
Là, ils sont consolidés (ou alors ont été revendus) et leurs satellites sont bien plus performants.

1 « J'aime »

Quand on dit « résolution de 50 cm », ça veut dire que 1 cm sur l’image correspond à 50 cm dans la réalité ?
Et donc que 10 cm dans la réalité correspond à 2 mm sur l’image ? :smiley:

1 « J'aime »

Résolution de 50 cm, ça veut dire qu’un pixel sur l’image est égal à 50 cm dans la réalité ^^
Une voiture de taille moyenne fait donc 3x8 pixels environ, et un piéton vu de haut c’est 1/2 pixels qui se déplacent.

Oui, j’avais suivi cela avec le lancement de GeoEye-1 qui était soutenu par Google. Mais même si je n’ai pas de liste exhaustive, j’ai l’impression qu’ils sont trop nombreux, juste pour de la « cartographie » (c’est-à-dire pas avec de la météorologie…etc…) et redondants avec les satellites financés par les États qui commercialisent aussi des images. Certes, c’est bien plus accessible aujourd’hui d’envoyer des satellites et surtout de 100-200Kg…Mais y aura-t’il un marché aussi important pour autant d’acteurs? J’ai un doute.

1 « J'aime »