Les demandeurs d’emploi vont pouvoir se faire du mouron. Les données de 340 000 d’entre eux sont dorénavant entre les mains de pirates.
Et allez ! Y’en a marre de ce laxisme sur notre vie privée. Pour ce cas là, ka seule chose possible pour les victimes, c’est le changement d’adresse mail et mot de passe. Pendant ce temps là, adresse postale et le reste, se baladent une fois de plus que le darkweb
C’est que le début, France Travail a une énorme base de données et croisée avec d’autres données tres senssiblme, pour bien fliquer le chômeur, et comme ca partage a tout va les données avec des organisme privé, c’est la porte ouverte a toute instrusion, vu que c’est l’incompétence et je me m’en foutisme totale au niveau de la sécurité.
Sauf que là, la faille vient d’un organisme privé, pas de France Travail. Donc ça ne dit rien sur la sécurité de FT, qui ne doit pas être mauvaise sinon les pirates se seraient attaqués directement à ce service.
On peut donc arrêter les reproches incessants juste parce que c’est un service public, donc catégorisé comme « grand méchant qui traque et flique le pôvre citoyen »?
Si on peut faire des reproches à France travail. Ils sont responsables de ceux à qui ils confient données et informations. C’est trop facile de se dédouaner en mettant tous les torts sur les sous traitants. Si ils étaient sérieux ils exigeraient des garanties, des droits de regard, audit… sur les prestataires. Non, ils n’ont qu’une seule inquiétude, confier leur boulot au moins cher.
C’est qui qui crée les protocoles en interne avec des organismes de formation par exemple ? C’est France Travail qui donne les outils à des organismes tiers pour accéder aux bases de données.