Pour renouer avec l’exploration du système solaire, la Russie avait choisi une mission aux objectifs extrêmement ambitieux : ramener des échantillons de Phobos
, l’une des deux lunes de Mars, sur Terre. Un plan complexe qui aurait peut-être pu réussir… si le véhicule avait pu quitter l’orbite terrestre.
Mais pourquoi les sondes Soviétiques/Russes sont-elles toujours si moche ?
Super intéressant, merci pour l’article
non encore un échec, donc un débris spatial de combien de milliards de dollars, à chaque fois, à chaque lancement, c’est la faute à quelqu’un comme là un programmeur, qui plus est en équipe, c’est du sabotage en ce sens, et puis depuis la station mir ils nous en envoie des satellite dit increvable, foutaise… C’est rageant de constater qu’un pays aussi grand que la Russie, puisse faire autant de dégâts, cela vas pas plaire du tout à la communauté européenne, c’est fort bien d’explorer l’espace mais en équipe internationale, pourquoi voyager seul, et puis c’est le design?? qu’est ce que c’est en fait… un turbo réacteur on dirait… pièce de musée obligé. Non il faut qu’ils arrête franchement et qu’ils arborent d’autre ambition… conquérir la lune avant tout et explorer la Terre en fond marins par exemple… là ils auraient du succès… ou alors ce module mais pour les profondeur océanique. et insonorisé l’océan par exemple… et mieux écouter les profondeur au delà de la zone des requins géant (et trouver le requins géant (Mégalodons) ou les calamars géant ou d’autres géant des profondeurs… et d’autres géants pour la science mondiale) ç’est une invention mais possible. ah là là.
Mais bon, bonjour Clubic et tous et toutes
Quand à Mars : c’est de l’argent de perdu… autant habiter sur Jupiter… c’est aussi respirable. Car la question scientifique ne se pose pas de problème pour l’oxygene, il y a que les machines qui peuvent y être et encore avec le souffre et les métaux oxydant je donne pas une mauvaise nouvelle mais soyons logique qui approvisionnera l’astronaute en oxygène. on peut tout entendre mais que croire. et quel extra en tant que Terrestre, de voir que vous laisser faire autant d’ânerie scientifique. depuis les années soixante.
So. you (Z) et sans mépriser qui que ce soit… de nos jours, hein !
Honnêtement je n’ai pas compris grand chose (peut être quelques phrases plus courtes mais sur un sujet unique ?).
Cela dit pas de débris spatial ici, comme on le précise dans l’article Phobos Grunt est rentré dans l’atmosphère quelques mois après son tir raté. C’est rageant, sans doute, mais le spatial c’est difficile. Ca l’a toujours été et la physique ne pardonne pas grand chose.
ok après tout je vais faire comme tous, plus rien dire, et dire bien bonne article… après tout, c’est plus cohérant… donc je m’en tiens à cela dans les futurs article. Merci
C’est pas très clair, tout ça… C’est une réponse, tout calembours et sans ponctuation. Et en quoi sommes-nous responsables de ces prétendues âneries ? J’ai pas compris…
Pour revenir à la cause du souci logiciel, je suis à moitié étonné qu’une erreur logicielle se soit glissée dans le code à une époque oú les parties softs étaient encore plus « artisanales » que maintenant et oú les procédures de test commençaient juste à pointer le bout de leur nez…
2011 c’est pas le Pérou quand même, les USA lançaient Curiosity et niveau soft, c’est quand même du costaud (même si ça reste de la programmation très économique en ressources) ! Bon parfois quand ça veut pas…
Personne ne vous empêche d’écrire le fond de votre pensée, c’est juste qu’on a pas compris le propos.
Je suis spécialisé dans les systèmes embarqués critiques, je participais à la conception d’automates d’analyses sanguines et quand je suis arrivé dans cette boîte, j’ai découvert que les tests étaient exécutés directement par un service spécialisé et non par des procédures automatiques telles qu’on les voit, aujourd’hui. En gros, le fonctionnel était testé en même temps que l’unitaire. Mais si un humain dans la chaîne, manquait un test ou sautait une ligne dans la procédure de test, il pouvait passer à côté d’un effet de bord ou une régression… Même les tests étaient à la limite de l’artisanal, ça n’est pas une science exacte même si les recherches en la matière tendent à les rendre exhaustifs, autant que faire, se peut… Le testing, dans le monde aéro et spatial m’impressionne encore plus que le code à tester