Commentaires : "Personne n'a de droit d'auteurs sur les faits" : Perplexity hausse le ton face à un grand média américain

Le moteur de recherche IA doit à son tour faire avec les récriminations des médias. Mais au vu de la réponse désinvolte de Perplexity, il semble que la start-up soit prête à relever le défi !

« Personne n’a de droit d’auteurs sur les faits »

et toc! :grin:

« Personne n’a de droit d’auteurs sur les faits »

Les faits, pour être rapportés et connus, doivent être retranscrits. Toute retranscription est possiblement couverte par le droit d’auteur. Un article de presse est une retranscription. Sans retranscription, pas d’entraînement d’IA. Basique. :wink:

Comme d’hab’, ça se débattra à coup d’avocats et ça se finira à coup de dollars… Bref, :popcorn:

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Un article de journal écrit par une ou un journaliste sérieux n’est pas un simple fait.
Un journaliste au départ vérifie ces fameux faits. A minima, il accompli un travail d’enquêteur et apporte une plus value non négligeable à son article : origine du fait, causes, conséquences possibles dans un proche ou lointain avenir (normalement neutre, mais chacun en achetant son journal préféré en connait normalement la ligne éditoriale) et selon les articles un travail de vulgarisation pour des personnes comme moi qui n’ai pas de compétences particulières dans certains domaines techniques ou scientifiques comme dans d’autres.
Utiliser le fait « brut » lui-même ne me pose aucun problème par contre si c’est pour utiliser la totalité du contenu des articles du New York Times ou d’un autres journal réputé pour la qualité de leur travail là ça me dérange effectivement.
Cela me dérange d’autant plus si ce sont les articles de reporteurs de guerre, pour ne citer qu’eux qui sont utilisés dans leur globalité sans leur accord. (Voir le site « Reporteurs Sans Frontières » sur la dangerosité du métier de journaliste).
Que Perplexity cherche a priori à « rémunérer les médias qu’il cite » comme indiqué dans l’article me semble être plus que justifié.

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