S’exprimant à l’occasion du dernier Forum de Davos, le patron d’OpenAI a conditionné le développement de l’IA à des avancées dans le domaine énergétique.
Cette société n’a qu’à continuer à investir dans ces « nouvelles sources d’énergie » avec les bénéfices qu’elle récupère de ses abonnements.
Sam Altman a peut être la techno la plus impressionnante par « course de vitesse » coté entrainement et mise à disposition du public,
mais niveau performance énergétique,
c’est bien eux qui sont dans les choux, et pas « un peu » mais carrément d’un ordre de grandeur complet, soit 10x, comparé à LLAMA/llava et les frenchies de Mistral AI :
Et encore, les nouveaux systèmes à base de « tree of thaught » et compagnie permettent d’espérer encore des gains de pertinence avec des modèles toujours plus petits.
Altman est peut être aveuglé par sa techno bourrine qui bruteforce les données mais qui au finale et lente et gloutonne, ne peut être exécutée en locale.
L’avenir est soit à de meilleurs algos, soit à des processeurs dédiés, soit à un mix des deux mais si on doit faire tourner un datacenter par « cerveau » le problème ne sera pas qu’énergétique, j’espère qu’il se remettra en cause
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Il est un peu bourin le gars.
Pourrait-on pas simplement créer des IA qui consomment moins ?
Et à l’extrême opposé, les grosses IA resteront dans des data centers qui seront par nature rares.
Donc, j’ai du mal à comprendre en quoi cela pourrait tant impacter la demande en énergie.
L’émergence des voitures électriques semble plutôt être le grand changement dans le domaine de la production énergétique…
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Plutôt que de changer de paradigme il faudrait que tout un système s’adapte à sa création, typiquement de mode de pensée américaine qui n’a finalement guère changer…
La première analogie qui me vient en tête quand on parle de ChatGTP c’est justement le tracteur américain.
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En gros, « notre truc est intenable, à vous de trouver une solution ! ».
Et cet art de présenter une faiblesse (sur-consommation électrique) comme la fabuleuse opportunité d’innover dans la création d’énergie, j’entends de grands dictateurs se retourner dans leur tombe 
l’IA actuelle a qu’un QI de zéro…
Des probabilités profondes et on interpole à gogo.
Le problème majeur, c’est d’avoir une base sans biais, pas de l’énergie et des GW !
Les gars est complètement dans un rêve avec la fusion… Bill Gates dans un autre délire avec un réacteur au sodium qui est inflammable à l’air et explosif à l’eau.
C’est triste de savoir qu’une technologie de fission propre traine depuis les années 60. Elle était réellement pensée et prévue en complément de la filière uranium (filière militaire pour produire le plutonium des bombinettes). On ne peut permettre la prolifération atomique (Iran, Corée du nord …), baser une industrie sur un contrôle manuel très complexe (tree miles island, Tchernobyl, Fukushima).
Il faut un réacteur que l’on démarre et que l’on vient recharger tous les quelques mois …
Heureusement que nos amis chinois sont agnostique et se sont emparés de ce réacteur au Thorium, sels fondus fluorés, neutron rapide, autostable, refroidissement par air, pression atmosphérique et à sécurité passive. Ils ont comme objectif une première grosse centrale en 2030 : Démonstrateur ok et prototype totalement fonctionnel.
Nos chinois vont ainsi permettre le traitement de tous les déchets à longue durée de vie… Merci la Chine !
Alman n’a donc pas posé la question à ChatGPT, ou la réponse est biaisée ?
l’IA actuelle a qu’un QI de zéro…
- (0) L’IA actuelle a un QI de 155
- (1) sur un test élaboré par la concurrence ( META ) spécialement pour planter Chat GPT, il fait 15% de bonnes réponses contre 92% pour des hommes. Ce qui ferait un « Qi rapporté » de 16… mais vu que c’est Le Cunn, véritable Hater d’Open AI, je le soupçonne d’avoir biaisé le test en ne sélectionnant QUE des cas qui provoquaient des « hallu » dans un modèle de language classique.
Mais bref dans les deux cas l’IA a un QI très supérieur à zéro, entre 16 donc (celui d’un débile profond) et 155 (celui d’un génie) suivant les tâches.
Le thorium et les RSF c’est un autre sujet, en creusant un peu en dehors des sources de laudateurs des RSF (j’en suis, mais j’ai plus de réserves aujourd’hui) j’ai cru comprendre qu’il y a des gros soucis de perf/corrosion avec les sels fondus.
Effectivement que l’autostabilité est une voie par rapport au pompage, qui enlève pas mal de problèmes mais pas tous.
Y’a aussi pas mal de problèmes théoriques sur la pollution et la méthode d’extraction des éléments radioactifs du sel lui même.
Bref, oui ça a tourné à OakRidge, mais le cout d’investissement et d’entretien par rapport à la puissance aurait été vraisemblablement stratosphérique.
J’espère que les chinois publieront un peu là dessus qu’on voit si ça le fait vraiment ou pas