La messagerie sécurisée française, plébiscitée par le gouvernement, héberge son serveur de distribution… aux États-Unis. « Aucun problème » selon les dirigeants.
Vu que les USA se réservent le droit d’accéder à tout, il vaut mieux que l’application ne stocke absolument rien !
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Sauf que cela ne pose pas de problèmes sur un plan technique mais sur du juridique !! C’est la Cloud Act et autres lois Américaines qui posent problème.
C’est « juste » un énorme coup de canif dans la promesse. ça aurait pu être n’importe quoi, du français, de l’allemand, du suisse. Mais coller ça pour la solution facile de l’AWS c’est la loose ultime de mon point de vue.
L’argument du secret défense, avec les moyens dont disposent les ricains ça ne tient pas très longtemps ( coucou Q-star / Qualia et l’entrainement au déchiffrement qui visiblement fait des miracles)
Quitte à avoir du centralisé, je reste sur Signal
En gros tous nos ministres et gouvernement sont sur écoute de la nsa, quand ce n’est pas Pegasus mdr…
Bref, j’espère qu’il y a pas une backdoor similaire chez Proton mail et VPN …
Comme j’ai pu lire les métadonnées ne sont pas chiffrées sur Signal. De plus étant donnée qu’à l’usage, son utilisation est moins contraignante, je crois que les clefs de chiffrement soient bien stockés sur le serveur à moins que je me trompe.
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@MHC, on aura la réponse à notre question sur la raison du choix de AWS plutot qu’une solution européenne : le manque de fiabilité, une meilleur performance en terme de scalabilité, …
Enfin bon, on s’en sortira jamais. AWS sera toujours meilleurs avec tout l’argent récolté pour se payer les meilleurs avocats pour optimiser aux mieux leurs impots.
Admétons que c’est ultra sécurisé, chiffré, je trouve cela moyen sur le principe.
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Scaleway et OVH sont fiables, scalables et … moins chers…