Commentaires : NSA : la surveillance de masse révélée par Snowden est considérée illégale par la cour d'appel américaine

Une cour d’appel américaine a jugé illégale la surveillance de masse mise en place par la NSA et révélée par Edward Snowden au début des années 2010.

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La vérité éclate depuis Nixon rien n’à changé ), tant mieux pour snowden, mais ne vous y trompés pas ce problème ne s’arrête pas à la frontière US. Pour protéger les citoyens on en profite pour jeter un œil dans leurs vies privées. On couvre de bonnes intentions des projets beaucoup moins respectables.

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Snowden ne s’est pas exilé en Russie. Il transitait par la Russie pour rejoindre un autre pays quand son passeport a été annulé par les USA. Résultat, sans passeport, impossible de quitter la Russie.
C’est ce qu’il écrit dans son livre en tout cas.

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monde de pourritures, qui prouve une fois encore si besoin était qu’il n’y a rien de bon en l’être humain.

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Du coup on attends les excuses les non lieux et les dédommagement Mr Trump!

Alors là il peut toujours se brosser… Trump of the Dead ne lèvera pas le petit doigt ou alors c’est pour le mettre en geôles un fois revenu dans le pays… Plus hypocrite que le gouvernement US tu meures…

Même si je suis très pessimiste pour l’avenir, je n’irai pas jusque là. Il y a de très bonnes choses chez l’humain. Malheureusement, les médias se baffrent des côtés sombrent de l’humain et nous en font un véritable gavage. Ce qui finit par nous faire croire qu’il n’y a plus rien de bon chez nos semblables. Croyance qui n’est pas sans conséquence malheureusement.

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Vu la longueur des frontières russes, et vu qu’il n’y a pas de postes frontières partout, celui qui veut quitter la Russie à pied ne doit pas avoir trop de mal. Le souci c’est la taille du pays et la distance pour arriver à une frontière.
Il arrivera dans un autre pays, sans passeport, mais bon, c’est une autre question.

Je comprends mais je pense aussi que vu son ennemi en face (USA) il doit se sentir plus en sécurité en Russie.
De plus, je me demande si la Russie le laisserait partir aussi facilement…

Nous sommes bien d’accord.
C’est comme la drogue. Il y a dealers et consommateurs…

Obama avait en son temps rejeté toute possibilité de grâce pour Snowden et une bonne partie de la politique extérieurs de Trump est la même (sauf pour l’Iran).

Comme si il y avait besoin d’une décision de justice pour comprendre que la surveillance de masse c’est pas jolie, jolie.
Elle a bon dos la lute contre le terrorisme.

Et puis bien sûr cette décision fédérale ne concerne que les USA et leurs habitants.
Ils pourront tranquillement continuer à surveiller tout le monde sans qu’on ne puisse rien y faire.
(Un petit bonjour en passant à nos potos de la NSA)

En tout cas j’admire le courage de Snowden et j’ose à peine imaginer ce qu’il a dû endurer pendant 7ans.

Il n’empêche que…

Mais cette décision de justice est quand même plus que très symbolique et malheureusement ce n’est pas finis pour Snowden.

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Peut-être que c’est une manoeuvre pour faire baisser la garde de Snowden.

Fait gaffe, ne retourne jamais au USA. :wink:

J’aime vos anecdotes…

Une juge démocrate vient de mourir la cour suprême devient a majorité conservateur!

On n’en sait strictement rien, pas tant qu’un nouveau juge n’aura pas été nommé…

Etats-Unis : la mort de Ruth Bader Ginsburg enflamme la campagne présidentielle

Une bataille pour la succession à la Cour suprême de la juge Ruth Bader Ginsburg, icône de la gauche, s’ouvre à Washington. L’occasion pour Donald Trump, en difficulté sur le front sanitaire, de mobiliser sa base électorale.

Jusqu’à vendredi, à un mois et demi de la [présidentielle américaine], chaque camp peaufinait sa partition et les sondages en faveur de [Joe Biden] étaient stables. Et puis, la juge de la Cour suprême 87 ans, a succombé à un cancer du pancréas. Les démocrates, qui ont érigé cette petite dame à lunettes en héroïne, craignaient une telle nouvelle depuis des années.

« Notorious RBG » (son surnom en clin d’œil au rappeur Notorious BIG) a marqué l’histoire du droit américain par son combat sans relâche contre les discriminations basées sur le sexe. A la Cour suprême, elle était vue comme une championne de la cause féministe, des minorités ou encore de l’environnement.

Mais les progressistes n’ont pas vraiment le temps de pleurer leur icône. Sa mort a immédiatement déclenché un bras de fer pour la désignation d’un successeur. Jusqu’ici, la Cour suprême était composée de quatre juges progressistes et de cinq juges conservateurs. Le patron de l’institution, John Roberts, faisait figure de vote pivot, ralliant parfois le camp opposé. Trump a promis de le bouleverser à la moindre occasion, en ancrant durablement à droite la plus haute institution judiciaire du pays. Et ce jour est arrivé plus tôt que prévu.

Course contre la montre

La couleur politique de la Cour suprême revêt une importance majeure aux Etats-Unis. Elle peut dicter l’orientation du pays pour une génération entière, puisque les juges sont nommés à vie par le président. Droit à l’avortement, aux armes à feu, politique migratoire, droits civiques… les sujets les plus brûlants y sont tranchés.

Donald Trump, qui a déjà nommé deux juges conservateurs, a désormais l’opportunité d’en désigner un troisième. Et par là même de prouver une fois de plus à sa base qu’il tient ses promesses. Il a promis samedi qu’il proposerait « très rapidement » un nom, « probablement » celui d’une femme.

Ce sera ensuite au Sénat de confirmer l’heureux élu à son poste avant janvier (quand les sénateurs désignés en novembre prendront leurs fonctions). La course contre la montre a donc commencé. La chambre haute dispose d’une majorité de 53 républicains sur 100 élus. Trois d’entre eux, plutôt modérés (dont l’ancien candidat à la présidentielle Mitt Romney), pourraient refuser de voter. Mais le vice-président Mike Pence, fervent évangélique, dispose du dernier mot au Sénat en cas d’égalité.

Quoi qu’il arrive, la séquence qui s’ouvre va détourner l’attention des thèmes qui marchent pour Joe Biden : la mauvaise gestion par son rival de la crise sanitaire et économique. Le démocrate peut toutefois espérer un sursaut de mobilisation dans les urnes, comme ce fut le cas après la confirmation du juge Brett Kavanaugh (farouchement conservateur) en octobre 2016. Les élections de mi-mandat qui eurent lieu un mois plus tard avaient donné lieu à la fameuse « vague rose » : la Chambre des représentants avait basculé du côté démocrate, notamment grâce au vote des femmes.

J’ai déjà vu tout ça, et ça confirme ce que je disais : la cour suprême n’est pas encore « devenue à majorité conservatrice »…on est dans la supputation, pas dans le fait accompli. neutre

Pour revenir à l’avant-dernier paragraphe, il ne faut pas perdre de vue que nombre de sénateurs joueront leur réélection en 2021 et 2022, il n’est donc pas acquis qu’ils accrochent leurs wagons à la locomotive Trump…ça pourrait leur jouer un vilain tour dans 1 ou 2 ans si Trump n’est pas réélu et que le nouveau président imprime une nouvelle dynamique au pays…et puis la Chambre des représentants a été à majorité républicaine de 2010 à 2018 et a basculé à majorité démocrate depuis, rien ne dit qu’il n’arrivera pas un jour la même chose au Sénat. ^^