Commentaires : Netflix va-t-il bientôt supprimer le forfait Essentiel?

Netflix annonce la fin de son forfait Essentiel au Canada. Le début d’une nouvelle politique ?

Oui oui, vas-y Netflims, pousse moi bien fort.

Allez, courage. Dénetflixez-vous. C’est peut-être dur au début, mais une fois le seuvrage passé, vous pourrez mieux respirer.

Hé bah on dira ciao Netflix …
ils sont forts, pour 5,99, tu payes pour avoir de la pub :clap:

Que deviendra le netflix de free ?

1 « J'aime »

Le fait qu’il existe un public pour cela le sidère, peut être finiront-il par payer pour regarder uniquement la pub?

Il devraient savoir qu’il contribuent eux même a la dégradation de l’offre en acceptant un truc pareil, et ça va donner des idées aux autres plateformes à terme.

Entre le partage de compte ou on voir des types incapables de tenir plus de 2 semaines sans cette daube pour montrer leur désapprobation on se dit bien qu’on est foutu. Pour la part je risque bien de revenir a l’ancienne méthode

2 « J'aime »

J’ai rien compris :sweat_smile:

tout ca pour se coltiner des tata intersidérales dans chaque série !

Moins de partages dons les gens migrent vers le premier forfait car 2 ou 4 ecrans simultanés leur est inutile. D ou une baisse de revenus…
Donc le supprimer evitera cette baisse de revenus… Et les actionnaires seront heureux…

1 « J'aime »

Déjà chez nous, le forfait est quasiment inaccessible pour les néophytes (option « voir toutes les offres » très discrète pour qu’il s’affiche…), et le seul à être resté bloqué en 720p. Donc à moyen terme je ne me fais pas d’illusion sur son existence.

Le plus inquiétant dans tout ça est la manière dont on nous prépare très subtilement à ce que payer pour de la publicité devienne naturel…

1 « J'aime »

« Pour la part je risque bien de revenir a l’ancienne méthode »

Mais est ce que beaucoup de gens sont prêt à le faire ? Une grande partie (la plupart ?) des spectateurs de Netflix et compagnie n’ont pas connu le P2P des années 2000…

C’est comme pour le streaming audio, ils avaient passé sur youtube une archive de l’INA datant de 2003 sur le « piratage ». Il suffisait de lire les commentaires en bas pour comprendre qu’attendre trois plombes pour récupérer un morceau (même si les vitesses de connexion étaient différentes à l’époque…) c’est une relique du passé incompatible à ce que l’on attend aujourd’hui d’un divertissement numérique.

Nul doute que quelques geeks reviendront aux « torrents », (ça existe toujours d’ailleurs) mais ça sera une minorité.

En effet c’est clairement pas la même culture informatique qu’il y a 20 ans. :joy:
La moitié des jeunes d’aujourd’hui seraient incapables de faire fonctionner un torrent et encore moins d’attendre la fin du chargement d’une saison entière de leur série préférée.
Ce qui a fait basculer les gens de l’ancienne méthodes vers Netflix, c’est la qualité du contenu de l’époque, la densité du catalogue mais aussi le prix dérisoire (il me semble qu’il existait un tarif à 7.99 €, que je divisais par 2 car je profitait du mois gratuit à chaque réinscription).
Mais honnêtement la publicité n’était pas un critère décisif.
Ceux qui ont canal plus n’ont jamais râlé quand des pubs étaient diffusées sur la chaîne même si c’était hors films, pourtant c’était pas donné niveau tarif.
Par contre niveau qualitatif c’est la douche froide et c’est ce sur quoi Netflix devrait sérieusement plancher, pareil pour le catalogue: des sagas de films où il te manque une œuvre par ci, par là, ça me rendait dingue…

Netflix a fini de courir après le nombre d’abonnés, maintenant ils vont se focaliser sur la rentabilité. Moins de clients mais qui payent plus cher et rapportent plus c’est ce qui les intéresse.

Alors moi je ne pensais même pas forcément aux jeunes mais aux quinquas ou sexagénaires s’étant mis à l’informatique sur le tard, le nombre d’abonnements à internet ayant vraiment décollé dans notre pays à partir de 2005-2006 avec la généralisation de l’ADSL, du dégroupage et des offres triple play : le téléphone fixe gratuit étant un bon argument à l’époque pour franchir le pas.