Commentaires : Netflix : la filiale française ciblée par un contrôle fiscal

Depuis l’an dernier, le fisc s’intéresse de très près aux activités de Netflix en France.

Avec 1.2 Milliard je pense qu’ils ont eu les moyens d’embaucher quelques conseillers fiscaux pour « légalement » optimiser leurs bénéfices :innocent:

2 « J'aime »

« A bénéficié d’un « habile » montage financier ».
Pour « habile », écrivez donc plutôt « malin ». Pour la petite connotation qui va bien.
On dépense des tonnes de blés pour fliquer et corriger ceux qui parmi les plus modestes traficotent un peu (avec dans certains cas extrêmes parfois une légitimité), ceux là même qui n’ont pas les moyens techniques et financiers de traficoter « légalement » (en épousant les limites inévitables de chaque lois), alors que tous ces géants du business se soustraient lâchement à l’impôt et qu’il serait très « facile » de légiférer (avec dans la formule un terme du type (résultat net global * CA local / CA global) ) .

1 « J'aime »

Une solution simple serait de baisser la pression fiscale en France. Personne n’a envie de payer des sommes folles.
Ce genre d’opération de vérification est one time, si le montage ne tient pas, Netflix diminuera sa présence en France. Et on se retrouvera comme pour tous les produits “disponibles partout mais pas encore en France” ou les médicaments en pénurie.

Mais la pression fiscale, ça permet tout de même de payer personnel soignant, enseignant, notre police, de maintenir la cité en état. De se soigner à minima (aux US, la pression est moins forte. Mais un diabétique doit avoir deux jobs s’il veut pouvoir se payer son traitement). Ca permet à la nation de faire nation. Et cette pression fiscale, tout un chacun (enfin tant qu’on a pas assez d’argent pour aller voir un avocat fiscaliste) s’y soumet. Tous ces grands groupes (peut être pas ceux du streaming video, puisqu’ils sont dans la phase folle de la vente à perte pour s’accaparer le marcher. Phase qui ne devrait pas être) ont largement les moyens de payer l’impôt (en rognant par exemple sur ce qui est versé aux actionnaires). Apple, Amazon, Google, McDo, Starbuck …
Notons aussi dans le cas de Netfilx, l’usage d’une infrastructure payée par tous et largement accaparée par eux seul. Rien que pour ce point, l’impôt s’impose.

1 « J'aime »