Le Parlement européen adopte une résolution pour freiner les algorithmes addictifs ciblant les enfants. Reste à mettre en place les outils techniques pour vérifier l’âge sans sacrifier la vie privée.
Les ados ont tous des smartphones, et vous croyez vraiment qu’ils vont passer leur temps à papapoter entre eux au téléphone.
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Sans doute pas, parce qu’une étude en Belgique a démontré que près de la moitié d’entre eux détestait téléphoner. ^^
Trop habitués aux sms, mails et réseaux sociaux, et aux contacts virtuels et impersonnels, ils seraient paraît-il mal à l’aise rien qu’à l’idée d’interagir directement avec d’autres humains.
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N’étant pas très loin (moins que toi) de la tranche d’âge je vais témoigner à la barre. Avant d’arriver dans le monde pro les appels téléphoniques me mettaient très mal à l’aise. Je n’avais pour autant aucun problèmes à communiquer « en vrai ».
Tout ça c’est un soucis de codes. Les codes du téléphone ne sont pas exactement les mêmes que ceux du réel ou du sms. Donc il faut apprendre.
Et évidemment, le contrôle de l’age ne devait servir que pour « préserver les mineurs de la pornographie ». 
Qui aurait pu prévoir ? 
…
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Je crois que la mention « et autres contenus jugés problématiques » a déjà été abordée dans des articles de Clubic.
Des contenus comme la drogue, la violences, l’alcool, les jeux d’argents. Aujourd’hui, ce sont les réseaux sociaux qui sont jugés problématiques pour les plus jeunes, et je suis entièrement d’accord.
Mais interdire certaines choses aux mineurs ou aux mineurs de moins d’un certain âge, je le rappelle, n’a rien de nouveau : vente de tabac, d’alcool, de pornographie, déjà, mais aussi absentéisme scolaire, travail rémunéré, conduite de certains véhicules et même relations sexuelles sont soumis à une limite d’âge.
Il n’y a pas à jouer la surprise ici, ce n’est qu’une évolution de ce principe, bien trop tardive d’ailleurs, aux nouvelles technologies.
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AU risque de paraître vieux jeu, quand on voit les dégâts moraux occasionnés aux enfants et ados via les réseaux sociaux, cela me semble une mesure acceptable. On parle bien de réseaux sociaux, pas de communications ou de messagerie.
Bon. Une conversation de groupe ne sera pas concernée.
Et en effet comme le stipule l’article, certaines applications de jeu sont des escroqueries addictives sans nom, qui jouent sur le besoin de réussite et d’auto satisfaction.
Pour aller plus loin, il faudrait maintenant ramener le respect entre humains sur la table. L’exemple vient toujours d’en haut, et quand on voit le comportement des adultes, il y a de quoi faire peur…
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Il était temps ! Il faut désabrutir notre jeunesse !
Quel dispositif technique a été choisi par l’Australie ?
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Et les parents de cette jeunesse
Et bien, on ne peux pas uniquement compter sur les parents, soit par désintérêt, soit par manque de compétences techniques, soit tout simplement parce qu’eux même sont accro aux réseaux sociaux et refusent donc de voir où est le mal.
Et même s’il n’y a rien de tout cela, même si les parents font ce qu’il faut, on est jamais trop aidé.
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