C’est malheureusement confirmé : Meta s’apprête à procéder à une nouvelle vague de licenciements cette semaine. Et ça commencerait dès aujourd’hui.
«ce sera une période difficile alors que nous disons au revoir aux amis et collègues qui ont tant contribué à Meta»
On vous croit…
Quel gâchis, c’es boites sont devenues des fabriques a chômeurs, c’est pas normal de licencier à la pelle comme ça, et on glorifie ces patrons de mes deux en les désignant comme des génies de l’entreprenariat et de la gestion, alors qu’au fond c’est juste des « idiots » et adorateurs du fric qui ont eu beaucoup chance !!
Évidemment que c’est difficile. Se réveiller chaque matin en se demandant si on va recevoir un mail de HR, voir des collègues qui ont 20 ans de boîte et avec qui ont a pris le café la veille quitter immédiatement l’entreprise, de retrouver en réunion avec un tiers des personnes manquantes et apprendre que le service avec lequel on bosse à disparu, tu crois qu’on adore ça ?
Le problème vient de l’économie. Les boîtes américaines embauchent autant qu’elles peuvent pendant les périodes fastes et s’allègent lorsqu’elles sont obligées. Au final il y a en moyenne moins de chômage.
Je préfère ça au modèle français où les boîtes s’interdisent d’embaucher de crainte que ça les coulent a la première crise.
Donc il faut trouver un juste milieux, je pense que l’état à un role a jouer pour contrôler et réguler par exemple: ( sous effectif alors que la boite fait des bénéfices ou charge de travail lourde alors qu’il y’a possibilité de recruter etc…) on peut pas laisser ça comme ça si on veut éviter ces drames !!
L’avantage pour eux de licencier maintenant c’est que beaucoup de postes pourront être remplacés par l’IA par la suite qui sait.
C’est surtout que ces boites ont généralement trop d’employés comme l’a prouvé Twitter. Ça demande pas 15 000 ingénieurs pour maintenir un site comme Facebook, juste des testes de régression.
Si les licenciements concernent les ingénieurs en particulier, ils sont surpayés (jusquà 30 000 euros par mois) et le risque de licenciement est naturellement couvert par leur salaire.
Aussi à noter qu’à la dernière vague de licenciement le taux de chômage dans les techs n’a pas bougé d’un pouce, la plupart des licenciés ont retrouvé un boulot sous peu.
Vous n’avez pas compris le fond de ma pensée… Je voulais dire que l’on croyait le RH derrière son fauteuil cuir…
En règle générale, dans ces grosses boîtes, le RH n’a pas d’amis…
Il y a une différence fondamentale. Ici, gafam aux us, il n’ya pas de conflit entre les employés et la direction. La direction parle au nom de tous les employés. Le “nous” représente tout le monde.
Ça se discute. Perso je préfère le modèle ou une personne à la possibilité de travailler pendant un temps limité plutôt que pointer au chômage. Cela rend le marché beaucoup plus dynamique et une personne licenciée retrouve du travail plus rapidement.
Oui mais ça reste précaire, l’avantage d’un boulot sur un autre c’est la stabilité, ça dépends aussi de quel œil on regarde ça, si t’est un patron oui, mais si t’est un employé c’est emmerdant !!