L’Université de Stanford et le SLAC National Accelerator Laboratory ont travaillé sur les différents problèmes liés à l’usage des batteries lithium-ion, à savoir le poids, la densité énergétique et le risque d’incendie.
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Rah la vache, deux fautes pour un même nom. Le bahut s’appelle « Université Stanford », sans « de » et avec un « t ».
Pour en revenir au sujet lui-même, c’est à la fois top que la recherche avance pour améliorer de manière incrémentale des technologies qui sont perçues comme clés pour une intégration plus importante des ENR, mais il n’empêche que ca met le doigt sur une certaine fuite en avant technologique très gourmande en matériaux (Lithium, cuivre, etc.)
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Typo dans le titre: « Stanford »
A dans 20 ans pour la première application commerciale !
Fuite en avant…comme toute exploitation d’une ressource finie…
En tous cas, le lithium et le cuivre des batteries, on ne le brule pas, ni ne le dissémine.
C’est pas le cas des hydrocarbures ou des phosphates.
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