En ce qui concerne le pétrole, il n’y en aura plus bien avant la fin du siècle (peut-etre même avant la moitié du siècle), enfin ce n’est pas tout à fait qu’il n’y en aura plus mais ce sera devenu tellement onéreux de l’extraire que cela ne vaudra plus le coup (coût?).
Il va falloir penser à l’après uranium et notamment sur les centrales à fusion, avec les centrales à fusion, plus besoin Centrales a fission jusqu’à la moitié du siècle et ensuite centrales à fusion.En gros, je doute fort qu’au niveau énergétique la seconde moitié du siècle ressemblera à la première , notamment parce qu’il n’y aura plus de pétrole et parce qu’ensuite la fusion aura remplacer la fission Et si l’on y ajoute la montée inexorable des énergies renouvelables…
Et pourtant… cela s’appelle de la géopolitique.
Si tu savais le nombre d conflits qui nécessitent une culture immense (politique mais aussi historique) pour ne serait-ce comprendre les enjeux.
Mais grâce à nos médias, tout est simplifié : on tranche tel camp célémeêêchant, et de l’autre, célégentiiiil, avec une catastrophe qui s’ensuit avec des jugement aussi simplistes et tranchés (coucou à l’ex-Yougoslavie et à la Libye, décimés pour le coup). C’est résumé trollesquement mais c’est extrêmement proche de la vérité.
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Non, désolé, je ne peut pas être d’accord avec ça. Si on a besoin de ressortir des vieux faits datant d’une époque largement révolue pour justifier quelque chose, c’est bien qu’il n’y a rien qui le justifie aujourd’hui.
C’est un peu comme si je venais te casser la gueule parce qu’il y a 60 ans ton grand-père a cassé la gueule du mien. Ça ne serait absolument pas justifié.
On pourrait même légitimer une attaque de l’Allemagne contre la France pour récupérer l’Alsace et la Moselle. Après tout, 1945, c’était il y a même pas 80 ans…
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Donc nous sommes si trompés par les médias que la vérité serait en fait que les russes sont les gentils envahisseurs animés de bonnes intentions et les ukrainiens les méchants qui méritaient d’être envahis ? 
Et c’est précisément cela que je reproche à beaucoup. Dans d’autres sujets ce genre de simplification n’auraient pas sa place et se verraient (à juste titre) vilipendé voire ridiculisé.
Tu sais toi même très bien que l’Ukraine est forcément relié à l’histoire de la Russie.
Dans ce cas-là de simplification je dirai que la France n’aurait rien à faire par exemple au Mali.
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Et si les groupes djihadistes ne menaçaient pas directement la France, elle ne serait sans doute pas allée intervenir au Mali…
L’Ukraine ne présentait en aucun cas une menace pour la Russie. Au contraire, elle la craignait.
Et l’Alsace-Moselle est forcément reliée à l’histoire de l’Allemagne… La ville dont je suis originaire, comme de nombreuses autres dans la région, dans son histoire, elle a été plus souvent allemande que française (et les 78 ans actuels depuis sa libération en 1944 sont la plus longue période française de son histoire…).
Donc là quand l’Allemagne annonce une enveloppe de 100 milliards pour son armée, on devrait craindre une menace de l’Allemagne sur l’Alsace-Moselle et attaquer l’Allemagne préventivement. Non ? Ben non. Parce qu’on est plus au début du XXème siècle, le contexte a radicalement changé depuis.
Le problème de Poutine et de ses défenseurs, c’est qu’il sont restés bloqués au XXème siècle justement. Poutine rêve de rétablir cette époque heureusement révolue, et il fait tout pour.
L’histoire ne devrait pas dicter le présent, et surtout pas justifier des exactions.
On ne regarde pas les mêmes chaines, alors.
L’intervention des USA dans les conflits n’est pas de la philanthropie. Le bordel qui est en train de se passer est orchestré depuis fort longtemps, depuis la « révolution » de 2014 j’aurais tendance à dire.
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S’il y a un pays qui est dans une situation comparable à celle de l’Allemagne des années 30 aujourd’hui, c’est la Russie hein, pas la France, ni un autre pays de l’UE. Faudrait voir à pas confondre…
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mais simplement en cherchant sur google avec les mots clé « bruno lemaire areva kazakhstan uranium », tu pourra en trouver plus.
Tu vois encore une fois, c’est pile poil ce que je constate… on" pathosologise" une situation passée mais surtout pas ce qui pourrait expliquer actuellement certaines choses en dehors de nos frontières… On ne peut pas dire qu’on puisse taper plus dans le mille que cela.
C’est franchement dommage. Car j’ai beaucoup d’estime pour certaines personnes ici qui ont fait preuve d’un recul salvateur sur bien des sujets, mais qui d’un coup, pfuit, disparaît comme un jet de surpression de soupape de marmite…
Et pour info, pour avoir bosser sur ces régions d’interventions de la France, ce n’est sûrement pas pour ce que tu crois (déjà rien que le fait que la présence de la France est bien antérieure aux attentats sous-entendus).
Maintenant je ne suis pas là à vouloir divulguer des « scoops » pour me la péter, ni pour jouer les « lanceurs d’alerte » (ceux qui salivent de vouloir jouer et/ou écouter des lanceurs d’alerte ne comprennent rien à la vie), et ça n’a rien à faire sur un site comme ici. Maintenant, cordialement, patiemment, j’en discuterai très volontiers un jour avec toi.
L’histoire ne sert pas à justifier, mais à comprendre (l’un n’est aucunement lié à l’autre, c’est la base dans la « quête de vérité »). Et c’est ici le défaut de nombreuses personnes de mélanger les deux. Parce qu’on ne comprend pas, on balaye d’un revers de la main.
Ah bah s’il vous suffit d’une chaine grand public (de quel bord que ce soit) pour vous sentir « cultivé », grand bien vous fasse… parce que d’aucune ne saura retransmettre à juste valeur ces conflits…
Mais comme ici on n’a jamais l’autre son de cloche, que doit-on conclure…
En effet : on ne peut pas justifier l’intervention russe. 
Haha mon garçon tout est « discutable »… autour d’un verre fraternel 
Mon petit, je pense que tu mésestimes mon âge 
Je ne mésestime rien, là est ton imagination… si à ton âge tu ne sens plus être un garçon
Mais vu que tu as de l’imagination, cela me rassure !!! 
Et puis, pour paraphraser plus généralement : la grande force des vieux encore debout est d’avoir de l’imagination là où les jeunes n’en auraient pas 