Après son décollage mardi, le module « nœud » Pritchal arrive pour s’amarrer à la Station spatiale internationale
aujourd’hui. Un nouvel élément russe qui vient compléter l’architecture actuelle avec Nauka et augmenter les capacités pour les véhicules futurs. Reste à savoir de quoi celui-ci sera fait…
Question, avec la fin de vie de ISS (horizon 2025-2030), quel est l’intérêt de la Russie de continuer à pourvoir la station de nouveaux modules ? Vont-ils continuer à envoyer d’autres, au détriment des autres pays et ainsi préparer une absorption future d’ISS ?
La fin de vie de ISS est devenu un sujet plus concret récemment pour des questions d’engagements budgétaires des USA, pas par rapport à l’état des modules et il faut bien finir et utiliser les développements en cours…
Les modules qui seront en bons état devraient trouver des repreneurs pour d’autres projets
C’est fournit d’origine avec un trou d’une perceuse ? Ou ça sera fait après installation?
On l’explique dans l’article, il s’agit d’un module construit en vue de générer plus tard la possibilité d’avoir une station autonome avec les futurs modules NEM, à la fin de l’ISS.
Ca n’est pas « au détriment des autres pays ».
La question est:
-est ce que Roscosmos peut supporter seul le coût d’une station ?
Pas sûr du tout, vu les coupes budgétaires et la fin des achats américains de sièges sur Soyouz. Ils ont déjà du vendre une capsule Soyouz pour boucler le budget 2021.
En plus les 2 déclenchement incontrôlés de propulseur cette année ne mettent pas en confiance de potentiels investisseurs.