Dans les laboratoires américains, plusieurs technologies sont déjà utilisées pour traduire l’activité cérébrale en mots et phrases cohérentes. Si les applications thérapeutiques se dessinent déjà, cette capacité à lire dans les pensées soulève également des questions éthiques fondamentales.
Comme il s’agit d’expériences par IRMf alors tout est très protocolaire. Identifier les zones cérébrales activées pendant une activitée donnée, OK, traduire cela en mots, je peux l’imaginer et c’est super si l’on peut traduire et produire du texte en même temps.
Mais la pensée spontanée est plus complexe puisqu’elle fait intervenir aussi des images et des souvenirs, nos souvenirs.
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« ne pas penser au sexe! »
« ne pas penser au sexe! »
« ne pas penser au sexe! »
« ne pas penser au sexe! »
…
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Rien que la t’es mort… 
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C’est surtout qu’absolument aucun d’entre eux n’acceptera jamais de passer un test.
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C’est pas faux…
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Il faut un article sur les pensées d’Etron :
« woke »
« woke »
« woke »
« money »
« money »
« money »
« woke »