Commentaires : L'intelligence artificielle, encore un truc de mecs?

L’essence d’un humain, c’est aussi sa capacité à réfléchir et à se rendre compte qu’il ira bien plus vite en passant par une IA pour certaines taches rébarbative, et ça ne l’empêché pas de vérifier les résultats.
Et si tu avais lu mon commentaire jusqu’au bout, tu aurais lu que je disais qu’il fallait les utiliser à bon escient. Donc, non, je ne la laisserai pas forcément garder mes gosses, et certainement pas dès qu’elle existe…

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Non mais ça fait du bien de se marrer un peu :joy:

Et c’est parti pour une bonne dose d’inclusif, de patriarcat, d’androcène et de victimisation.

Y’a plus que ça qui compte en ce moment.

Analyser et interpréter absolument tout a l’aulne clivante du rapport entre les genres.

L’IA est un outil, certains et certaines l’utilisent d’autres pas. Mais pourquoi se torturer la tête à y voir un prolongement à un complexe d’imposture qui serait imposé par les mâles ?

Faut pas s’étonner à force de rabâcher ces théories victimaires pseudo psychologiques que les moins neuronnés des hommes aient des réactions violentes et masculinistes.

En d’autres termes, vous vouliez l’égalité et la reconnaissance ? Et bien votre militantisme est tellement outrancier et excessif que vous êtes en train de créer la guerre des genres.

Cessez donc de reprocher aux hommes de 2023 le comportement de leurs grands pères.
Arrêtez de prendre en exemples 3 abrutis misogyne pour en faire des généralités.

Il y’a encore des ajustements à faire. Ils se feront ensemble et pas dans la deconstruction ni dans l’opposition.

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Cet article rate l’essentiel ! Ce qu’il faut lire entre les lignes c’est que seulement 11% des chats utilise une IA. En effet, hommes plus femmes égal 89% et on s’en fout mais les 11% restant sont capital !!!
J’ai la chance d’avoir un chat éduqué qui est très alaise avec les nouvelles technologies mais combien de chats de gouttières n’ont pas accès à ces technologies ?
C’est ça le vrai scandale mais vous ne le verrez jamais dans les médias!!!

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J’ai sévi près de 35 ans dans l’informatique, et connu de nombreuses femmes (jeunes et moins jeunes) pas de différence en pourcentage, il y a autant de brèles dans les deux sexes même remarque pour les très bons.
En informatique comme chez les camionneurs ou les métallos (ceux des fonderies) où il y a moins de femmes que d’hommes mais il y a quelques dizaines d’années les personnes dites du «sexe faible» étaient à la maison et cela depuis plusieurs siècles alors laissons leur le temps d’investir les secteurs technologiques.
D’autant qu’il y a besoin d’idées nouvelles chez les techniciens et ingénieurs (pour rester dans le domaine) des analystes-concepteurs et codeurs mais aussi chez les concepteurs de circuits et créateurs de nouveaux processeurs (non-étasuniens).

Quant à l’IA c’est d’actualité quand nos jeunes ont besoins d’une calculette pour faire une addition et comme lire c’est fatigant, il faut des audio-books, etc. donc il faut bien prévoir une IA pour penser…

« il y a quelques dizaines d’années les personnes dites du «sexe faible» étaient à la maison et cela depuis plusieurs siècles alors laissons leur le temps d’investir les secteurs technologiques. » => Tu sais, je doute qu’il y ait encore beaucoup de femme qui se souviennent de cet époque ? Même à l’époque de mes parents, c’était déjà plus trop le cas (Mon père qui aurait 80 ans aujourd’hui, s’il était encore là, faisait le ménage, pendant que ma mère bossait). Bref, je pense que l’argument du la femme était à la maison est aujourd’hui un argument complètement hors sol. Alors bien sur, on peut surement imaginer qu’il y a des raisons lié à l’évolution, mais en l’état ça restera des hypotheses.
En fait, il faut arreter de chercher la petite bete. Comme j’ai dit plus haut, ce qui compte, c’est qu’un métier soit accessible à une personne compétente et motivée, peut importe son sexe ou origine. Et c’est majoritairement le cas de nos jours et les gens ne se souviennent globalement plus de l’époque d’avant, en dehors de conversations et de on dit.

Evidemment.
J’espère bien que quelque soit son genre une personne puisse accéder à ses choix de vie (tant qu’elle fait pas chier les autres)

Maintenant ces histoires de quota et de discrimination positive ça soulève le débat de la genrification des concepts et des idées.
Que seule une femme peut développer des concepts pour femmes et vice versa.
Encore une fois une attitude de clivage et de division. Tout comme ces réunions de réflexions sur les atteintes aux minorités réservées aux participants de la minorité concernée.
La culture d’un « entre soit » les autres sont trop blanc, trop mâle et trop cisgenré pour comprendre. Ou alors c’est l’équivalent woke des réunions des alcooliques anonymes.

Franchement j’ai pas du comprendre la définition du mot « inclusion » dans le dictionnaire.

Et bizarrement ça marche que dans un sens en ce moment.
J’entends personne s’insurger de l’ultra majorité du genre féminin dans les secteurs de l’éducation, de la santé et du sociale.
Même pire que ça on est en train de nous raconter que c’est à cause des hommes que les femmes sont « reléguées » dans ces professions « subalternes ».
Comme si éduquer des enfants et soigner était quelque chose de secondaire. Mal payé en ce moment c’est certain, mais essentiel à la vie ça c’est sur.
Et c’est oublier bien vite qu’il y’a 40 ans les statistiques de genre dans ces métiers penchaient plutôt chez les hommes.
Et si il existe une genrification de la pensée et que l’inclusif s’acquiert pendant l’enfance, 80% d’enseignants femme en 2023 en primaire est-il un juste équilibre pour la construction d’un modèle ? Et comment expliquer la soit disant résilience d’un modèle patriarcal avec une sur représentation du modèle féminin dans le secteur éducatif ?

Donc oui vivement plein de mixité sociale de genre et d’origine de partout.

Mais stop à la victimisation permanente et le martèlement du féminisme militant d’un monde patriarcal oppresseur. C’est bon maintenant, on a compris l’idée, Ça va, C’est pas très constructif.
sortez vous les doigts du … et agissez.
Les mâles vous font de la place vous attendez quoi ? Qu’ils aillent vous chercher au fenwick ?

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100% sur ton pifomètre, bien plus précis qu’une étude… :smiley:
On peut douter des résultats d’une étude, surtout que les échantillons et les incertitudes ne sont jamais précisées dans les articles qui présentent les résultats, mais la traiter de « fake news », bof…

Je remarque quand même une chose:
On a éclusé tout ce qui était possible d’écluser sur la question de l’égalité Homme - Femme. Cà part de leur « rôle respectifs », à cette histoire d’IA en passant par des pistes cyclables non-genrées XXDD… depuis presque que 6 ans les campagnes se sont intensifiées dans ce sens, il y a même des choses qui ont été mises en place . Sauf que depuis plus de 20 ans, une des questions les plus fondamentales reste toujours en suspend: celle du delta de salaire H/F. Marrant qu’on mette le paquet sur l’inclusivité dans l’apprentissage de l’orthographe à l’école où son utilisation dans les institutions, mais côté rémunération, la sphère médiatico-politque feint de ne pas voir qu’il y a zéro avancée concrète.

Hmmm !
Pas tout à fait d’accord.

La sphère médiatique en fait des tonnes surtout en ce moment.
La sphère politique à depuis longtemps fait des lois plutôt contraignantes pour les entreprises privées d’une certaine taille.

Quand on entend les femmes gagnent 25% de moins c’est une statistique globale.
Ça veut dire que la totalité de la masse salariale potentielle des femmes en âge de travailler est 25% inférieure.
Par contre quand on compare les salaires à poste et temps de travail équivalents la différence tombe à 4%.
0% ça serait encore mieux et on va y arriver mais on est loin du battage médiatique.

Donc la vraie question est plutôt pourquoi il y’a moins de femmes en activité salariale que d’hommes et pourquoi sont elles moins présentes dans les tranches à forte rémunération.
C’est nettement moins basique comme question et les réponses sont d’avantages sociétales

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