Commentaires : LinkedIn forcée par la justice à identifier les cyberharceleurs d'une sous-traitante de E.Leclerc

Le tribunal judiciaire de Paris a récemment condamné LinkedIn à lui fournir les données d’identification permettant de remonter jusqu’aux harceleurs d’une femme ayant subi des attaques répétées pendant plus d’un an sur le réseau professionnel.

Ça vole pas haut les insultes !

En tout cas c’est une bonne chose, espérons que ça fasse jurisprudence. Peu importe qu’il y ai des dérives au travail, il faut en parler au travail.

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8 mois et quelques milliers d’euros plus tard, on va peut-être découvrir que c’était sa propre fille à qui elle avait confisqué son portable (ça arrive, même si je ne l’espère pas pour elle…).

Pour qui la justice va t-elle trancher alors ?

Même sur LinkedIn, réseau estampillé professionnel, on trouve de plus en plus de fond de caniveau.
On voit ce que ça donne la fameuse liberté du net. Des teuteuilles qui sont libres d’harceler les gens, durant leur journée ô combien passionnante.
Encore une fois, ça confond liberté et anarchie.

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que les comptes soient faux n’est pas important, l’important c’est que Lindekin soit obligé de donner les données d’identification donc aussi l’adresse ip de l’émetteur par exemple alors à moins que le gugusse n’utilise que des cybercafé en en changeant à chaque fois et en payant en liquide (ce qui m’étonnerais quand on lit la prose ) il va fatalement pouvoir être identifié par la justice. L’anonymat sur internet existe mais il demande des connaissance peu répandues et certainement pas détenues par une personne ayant une orthographe aussi approximative.

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Tor Browser est à la portée de n’importe quel imbécile malheureusement .