L’armée française a mené son exercice cyber-électronique offensif, baptisé OSMOS 25, il y a quelques jours. Les cybercombattants ont pu tester leurs capacités d’attaque sur des systèmes adverses.
C’est vrai que dans notre monde en paix avec tout le monde qui aime tout le monde parler de guerre voir, horreur sans nom, s’y préparer risquerait de briser toute cette belle harmonie.
Restons bien la tête au fond du bac à sable et ne préparons surtout rien comme ça on est sur que tout va bien aller…
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Pourquoi viens-tu nous parler de gnunux ici ?
« Cybercombattant », c’est ridicule. Le type est sur le terrain.
parce que vous pensez vraiment que tout les cybercombattant sont derrière un bureau devant un mur d’écran, c’est bon pour les films à grand spectacle cela.
Il y en a évidement mais aussi des équipes de terrain au plus près de l’action pour de l’interception en temps réel au plus près de la source. Il n’y a pas que des transmission à longue portée un poste de commandement de brigade dirigeant 10 000 hommes n’émet pas à plus de 30 km et actuellement avec la transmission de donnée et l’espace numérique du champs de bataille les intercepter les décoder et les brouiller c’est aussi décoder et empêcher ou contrer la manœuvre adverse. Et si le traitement des données se fait souvent au calme à l’arrière, l’interception et la déception ne peuvent être le fait que de combattants au contact alors oui il existe des cybercombattant comme celui-là et beaucoup. Il sont rare et cher à la fois experts au maniement d’armes et et informatique souvent ce sont les forces spéciales.
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Non. J’ai simplement dit que ↓
Cette manie de coller cyber partout…
ce sont des cybercombatant parce qu’il intervienne dans cet espace mais pour le faire ils doivent être au contact donc ce sont aussi des combattants
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