Qwant, le moteur de recherche français respectueux de la vie privée, largement ignoré une fois sorti des administrations, n’a pas eu du tout le succès escompté.
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Comme quoi, il n’y a que dans le vice que ça rapporte vraiment.
Mais pourquoi vouloir contrôler les gens? Qu’ont-ils à se reprocher ces états pour vouloir tout connaître sur la vie privée de leurs citoyens?
La peur que des vérités sortent et que des révoltes naissent?
Est-ce donc ainsi que ces gens de pouvoir conçoivent la vie des autres, privée de vie privée?
Les tyrans changent mais la tyrannie reste.
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Qwant s appuie sur Bing … Finance a 50m … utilise par l’administration … ‹ réputé › garantir la protection des données … Puis alternativ …
C’est moi ou je suppute une supercherie des le début au profit du renseignement avec gros chèque a la clef, une posture difficile a tenir puis une retournage de veste déjà a l’envers ?
ps, désolé pour les accents, clavier qwerty, le correcteur fait ce qu il peut
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Etonnant? absolument pas, c’est un affabulateur, un commercial qui vendrait sa mère si ça se vendait.
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de ce que j’ai compris de la partie Naval Group sur Politico, c’est pas une histoire de « contrôle des gens », ce sont des besoins très concrêts.
Par exemple dans l’histoire du méga contrat perdu, Naval soupçonne une taupe au sein de l’équipe française ou, à défaut, au sein de la « A » team franco-australienne sur ce dossier. C’est plutôt grave car on parle espionnage industriel/défense entre alliés, au détriment de ton pays, la France.
Du coup Naval mandate Alternativ (et probablement d’autres boites concurrentes) pour profiler les gens de cette team.
La sauce Leandri c’était l’espionnage en sources ouvertes, j’ai cru comprendre que le résultat a été mitigé, c’est peut être une voie simplement complémentaires d’espionnages beaucoup plus « classiques » et illégaux.
Quoi qu’il en soit, ne soyons pas des lapins de trois semaines, dans la défense c’est probablement indispensable.
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Merci BEAUCOUP Clubic pour cet article, on ne met que trop peu en lumière ce que fait cet homme et ses sociétés, qui pourtant oeuvrent très souvent avec de l’argent public comme vous l’avez souligné.
Je pense que pour apporter un peu de contexte, il serait opportun d’ajouter à l’article une phrase (quand vous mentionnez les problèmes de Qwant) qui mentionne l’article de vos collègues de Next Impact, afin de mettre aussi en lumière les affaires de harcèlement notamment dont cet homme est accusé.
Oui enfin bon. On est surpris que des patrons de grandes sociétés soient avides de pognon et de pouvoir ?
Et que pour y arriver ils n’aient aucun sentiment ni état d’âme… faut vraiment être niaiseux pour le découvrir. C’est comme le green washing ou le commerce equitable… ça ne sont ni plus ni moins que des segments ou niches commerciales… comme d’hab les promesses ça n’engage que ceux qui y croient pas ceux qui les font !
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l’habit fait pas le moine
Il ne faut pas avoir une vision aussi négative. C’est juste une question d’argent: le maintien de l’ordre pour le bon fonctionnement de la société coute très cher, la surveillance généralisée permet un contrôle simple et efficace, donc de belles économies.
En fait non, ma vision est tout aussi noire, juste plus cynique… 
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Si l’enfer est pavé de bonnes intentions, le paradis peut n’être qu’artificiel.
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Depuis le début, je devinais que Qwant était un traquenard, une supercherie, un piège à c*ns. Le soit-disant agneau était en fait un loup sanguinaire sans foi ni loi. Et sur le compte de l’argent public gaspillé. C’est dire si la France ne s’est pas encore débarrassée de ses vieux démons. Vive l’Union Européenne, ma nouvelle patrie.