Commentaires : L'ESA va lancer un satellite pour étudier la santé des plantes et de la planète

L’Agence Spatiale Européenne (ESA) va mettre un satellite en orbite, en 2023, qui sera chargé d’observer les plantes présentes sur Terre, depuis l’espace. Son but : analyser leur état, ainsi que celui de la photosynthèse, pour étudier la santé de la planète.

Oui, sinon il suffit de se baisser et de parler à un jardinier spécialisé.

Mais bon, quand on se prend pour des déités, on ne s’abaisse pas à ce genre de basse tâche.

Et puis il faut bien dépenser dans des programmes coûteux qui ne servent à rien, histoire d’entretenir quelques épouvantails flagorneurs qui cimentent ce système mortifère.

Qu’Erysichthon nous protège de cette démesure insensée !

comme dirait l’autre, C’est pas faux !

C’est vrai quoi, ton jardinier est bien placé pour connaitre l’état des plantes en ouzbekistan.
Il s’amuse aussi à analyser leur fluorescence et fait de jolis graphiques avec.

Il est trop cool ton jardinier!

@manu0086
C’est vrai, quoi, toi aussi, tu as besoin de consommer des plantes d’Ouzbékistan.
Celles de ton jardin n’irriguent déjà plus le sommet de ton crâne.

Et c’est bien dommage !

Apres, c’est vrai qu’on vois mieux d’en haut, la difference de couleur dans les forets, les degat dus aux multiples incendies, a la pollution, mais cette tache aurait tres bien pu etre donnée a des satellites deja en orbite

@E-Gwen
Je suis d’accord avec Manu, le problème n’est pas ton jardin et l’état de tes 3 plans de tomates ni même l’état des champs des plus gros propriétaires terriens, mais l’état global de la flore. On ne va pas demandé à ton jardinier de sillonner la forêt amazonienne et les steps mongoles pendant ses congés! :stuck_out_tongue:
Le plus simple, le moins coûteux et de loin le plus rapide, c’est un petit satellite qui fera infiniment plus d’observations qu’une armée de jardiniers. Après, en terme d’emplois, on peut lancer le débat! :smiley: On cherche des solutions globales à un problème global,même les climatos sceptiques peuvent comprendre que l’on doit suivre et comprendre les changements (dus à l’homme ou pas) pour les anticiper…

@Nmut
Non, sans déconner ?!!
“Le moins coûteux”, rien n’est moins sûr…
Pour faire très très court, car c’est un vaste débat dont l’amplitude ne m’aura nullement échappé, il serait très urgent de s’intéresser à l’état des plantes sur Proxima du Centaure, processus géré par une intelligence artificielle qui n’a jamais vu, respirer, ni même manger une plante, mais qui sera en mesure de produire un rapport toutes les millisecondes.
Et si des jardiniers veulent partir en éclaireurs, ils devront emmenés avec eux un satellite… de poche. On ne sait jamais. :wink: