Grâce aux mesures coordonnées entre la mission européenne Solar Orbiter et celles de la sonde Parker de la NASA, une équipe scientifique a pu expliquer l’origine des températures extrêmes de la couronne solaire. Cette dernière est plus chaude que la « surface » solaire. La faute à des jets turbulents ?
Chapeau pour la gymnastique !
Je comprends maintenant pourquoi ma mère bronze plus vite que moi.
Merci pour cet article qui nous apprend (enfin à moi…) des détails sur notre astre, enfin de gros détails.
Ce qui est remarquable c’est que cette coopération des deux programmes Parker et Solar Orbiter n’était, (selon ma compréhension @Eric confirmation?) , pas prévue à l’origine et que les équipes ont accepté et imaginé (Telloni) des modifications de trajectoire et d’orientation (la gymnastique orbitale) pour créer cette configuration de mesure bien spécifique ! Encore une belle coopération Nasa et ESA où les scientifiques montrent l’exemple aux politiques … Hum à y regarder de plus prés, finalement j’en suis moins sûr il s’agirait bien de « collaboration planifiée »… cela n’enlève rien au résultat ![]()
Alors c’était espéré comme coopération, mais plutôt sous une forme passive (les deux agences peuvent regarder les données et les corréler). Mais pour cette prise particulière ça a mené à changer l’orientation (pas la trajectoire) et surtout à court terme, donc c’était à la fois imprévu et plutôt ouvert.
« Tu sors pas sans ton écran total »