Dans l’immensité de notre galaxie, à une distance relativement modeste de 20 années-lumière, une planète a retenu l’attention des astronomes. Elle a été baptisée HD 20794 d, et celle-ci se trouve dans la zone habitable de son étoile.
Juste à 20 années lumières de chez nous ! Bon courage pour s’y rendre… 
« Or, l’orbite elliptique d’HD 20794 d pourrait compromettre cette stabilité, créant alternativement des périodes où l’eau se vaporise et d’autres où elle se solidifie »
Et donc ? Inhabitable sans une technologie qui permette de pallier à l’indisponibilité périodique de l’eau. Et une source d’énergie qui permettent d’y vivre lors des périodes glaciales.
On a tout sous la main, la Terre, et on fait quoi ? On la détruit, et toutes les tentatives de la sauver sont réduites à néant par une minorité au pouvoir en quête de profit.
Cela reste un rêve utopique pour l’Humanité, pas d’exode possible si on est incapable de sauver notre propre planète D’ABORD. Ce sera la preuve que nous sommes prêts à passer à un projet plus audacieux.
Sinon ce sera l’échec assuré, à un prix démesuré.
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D’après Musk, dans 3 mois on y est. Il a d’ailleurs lancé un Kickstarter pour financer les boulons du Interstellar-ship.
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Quoi ? Ce n’ est pas a trois stations de métro d ici ???
Pourquoi on gâche nos ressources pour les trouver alors ?
+1.
Et de toute façon, quand bien même le voyage serait possible, il ne faut pas oublier un petit détail de rien du tout : quand les scientifiques parlent de planète « habitable », ça veut seulement dire qu’ils pensent qu’il est possible qu’il y ait dessus une vie basée sur la chimie du carbone, comme la vie sur Terre.
Ça ne veut pas nécessairement (et même, le plus souvent, pas du tout) dire qu’elle serait habitable par l’humain.
Par exemple, ici on parle d’une planète 2 à 10 fois plus massive que la Terre. Donc avec une gravité 2 à 10 fois supérieure… Ce qui n’est probablement pas vivable pour l’humain, pas du tout adapté à une gravité aussi forte : résistance des articulations des jambes, fonctionnement du système sanguin… Au mieux, une gravité de 2 fois celle de la Terre doit être très désagréable et accélérer grandement le développement de problèmes d’articulations et cardiovasculaires, au pire avec une gravité de 10 fois celle de la Terre nos jambes seraient probablement écrasées sous notre poids…
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Il y a certainement des formes de vie qui s’accommodent des conditions des exoplanètes, mais l’Humanité n’est pas (encore) en mesure de vérifier.
Même s’il est théoriquement possible de construire une capsule qui pourrait être propulsée à 1/10eme de la vitesse de la lumière, il faudra plusieurs générations de vie humaine pour atteindre l’exoplanète HD20794. Personne n’irait financer un super projet sur plus de 10 générations sans garantie d’obtenir ni de pouvoir vérifier un résultat sur une durée de vie humaine normale, ni même dans 200 ans.
Ça nous fait une belle jambe ! Aucun intérêt. Notre Terre, la vraie, celle où nous vivons, est pillée, et l’humanité va trépasser dans peu de temps. Pourtant, l’homme le plus riche du monde ne pense qu’à une chose : coloniser une planète morte, au lieu de sauver l’humanité de sa folie meurtrière… Cherchez l’erreur !
Ne faudrait-il pas plutôt mettre toutes les ressources de la science au service de la préservation des écosystèmes, des animaux et des plantes ? N’est-ce pas là que les moyens devraient être investis ?
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Dans 1000 ans quand nous pourrons y aller , l 'absurdité de ce genre d’article dont nous sommes inondés
Au regard des commentaires postés ici, je pense que la plupart des gens n’ont pas compris l’objet de ce type de recherche. Il ne s’agit pas ici d’aller chercher une planète à coloniser mais de chercher des traces de vie hors Terre. Pas question d’y aller évidemment, vu la distance, mais utiliser des méthodes spectro pour chercher des indices spécifique de cette chimie du vivant.
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Oui je suis d’accord avec toi, mais utiliser de l’argent, des ressources, alors que tous les éléments de la constitution, de l’évolution de la vie se trouve déjà sur terre, dans toutes les conditions, et même extrêmes. L’intérêt finale, à savoir qu’un microbe existe ailleurs que sur terre (schématiquement), me paraît bien maigre et je pense que l’urgence n’est pas là.
Oui, afin de mieux comprendre notre système solaire. On pourra aussi éventuellement être les témoins des prémisses de l’apparition de la vie pas si loin de nous. C’est l’intérêt des exoplanètes habitables dans la mesure où l’on peut y trouver réunis de l’eau, du méthane et du carbone.
@DarkCrystal L’humanité ne va pas trépasser dans peu de temps mais plutôt dans plusieurs centaines de millions d’années et toute trace de vie sur Terre dans, disons, un milliard d’années. D’ici là, l’homme aura le temps de voir se former la Pangée Ultima où tous les continents seront à nouveau réunis en un seul. A mon avis c’est l’entre deux qui va être spectaculaire.
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Dans aucun des commentaires, le plus important critère d’habitabilité n’est retenu ou apparu.
Bon je vais le donner à tous alors, si c’est une terre qui fait 20 fois la masse de la notre, la premier reflex c’est d’aller revoir les entraînements de goku en salle superG ou d’aller faire un saut sur la planète Vegeta.
Ben oui, pour y habiter il faut pouvoir y marcher non ? Pas finir comme un coulis de framboise …
20 fois la masse de la terre, ce n’est peut être pas 20 fois la gravité, mais environ 4 fois, donc …
Ben si, au contraire, cela a été dit plus haut par @MattS32, l’humain n’est pas inclus dans la définition ou les critères d’habitabilité. C’est la présence d’eau puis de carbone voire d’autres molécules. C’est tout. La zone habitable pour une exoplanète, c’est la distance qui la sépare de son soleil qui lui permette de réunir ces conditions d’habitabilité.
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Oui autant pour moi …
il a envoyé son spider, mais il cherche la bretelle de sortie du périphérique de l’orbite terrestre, la cartographie n’ayant pas été mise à jour dans ce secteur.
Et il n’a pas trouvé de superchargeur pour continuer le voyage …
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Ça fait combien de fois que l’on nous vend ce genre de news sur le web ?
question posée à l’IA : Combien de temps mettrions à la vitesse actuelle de nos vaisseaux spatiaux pour franchir 20 années lumière ?
Réponse :
Pour répondre à cette question, je vais prendre comme référence la vitesse de nos vaisseaux spatiaux les plus rapides actuels.
La sonde spatiale la plus rapide que nous ayons construite est la sonde Parker Solar Probe de la NASA, qui peut atteindre une vitesse maximale d’environ 692 000 km/h (près de 192 km/s).
Calculons :
Une année lumière = environ 9,46 billions de kilomètres
20 années lumières = 9,46 × 20 = 189,2 billions de kilomètres
Avec la vitesse de la sonde Parker Solar Probe :
Distance par an : 192 km/s × (365,25 × 24 × 3600) = environ 6,06 milliards de km/an
Temps pour parcourir 20 années lumière : environ 31 300 ans
En pratique, cela signifie que nos vaisseaux spatiaux actuels mettraient plusieurs dizaines de milliers d’années pour franchir 20 années lumière.
Cela ne signifie pas pour autant que la vie est apparue spontanément dans toutes ces conditions, là est l’intérêt de la recherche d’exoplanètes.
En étudiant la diversité des environnements sur ces dernières, nous cernons mieux les conditions qui ont permis l’émergence de la vie sur notre belle Terre : voilà pourquoi c’est important d’y consacrer des fonds et de l’huile de coude.
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Oui, mais l’intérêt n’est pas de s’y rendre, l’étude des exoplanètes n’a pas cette vocation.
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