Commentaires : Les propriétaires de logements Airbnb, ces stratèges qui font tout pour contourner les règles

Abnb ne fait rien en cas de litiges, cf les cas de saccages d’apparts.
En cas de squat de ton appart après une location Abnb, ils ne font rien et c’est la procédure classique qui se passe. Exactement comme une location longue durée.
Ca arrive d’ailleurs de plus en plus, d’un côté ils créent une crise du logement de l’autre c’est le retour du bâton.

Comme le dit JimAmbaleck, la meilleure solution c’est la location longue durée avec un loyer raisonnable

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Non pas forcément
Evidemment c’est plus facile en étant aisé, mais regardez le stats chez les jeunes même avec de bas revenus. C’est criant comme plus personne ne croit au système à long terme^^

J’aimerais beaucoup voir les stats oui. Et aussi avoir une définition de « jeunes à bas revenus » si possible pour être sûr qu’on ne parle pas de poire pendant que vous parlez fromage.

Là ou on sera d’accord c’est que c’est sans doute une envie, et que oui la confiance dans l’avenir n’est pas au plus haut.

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https://www.lerevenu.com/reussir-bourse/quand-les-jeunes-investissent-la-bourse/
C’est significatif depuis 10 ans

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Merci pour le lien !

L’article commence quand même par valider en partie le préjugé :

Dans l’imaginaire collectif, le stéréotype de l’investisseur en Bourse est un homme âgé et riche.

Ce préjugé comporte une bonne part de vrai : selon la dernière enquête réalisée par Kantar pour l’Autorité des marchés financiers (AMF), les détenteurs d’actions sont à 65,4% des hommes, gagnent plus de 3.000 euros pour 66,4% d’entre eux, et 32,9% sont âgés de plus de 65 ans. En deux ans, les investisseurs les plus aisés – dont le revenu mensuel du foyer excède 6.000 euros – ont en outre largement investi sur les marchés. Ils représentent désormais 15,9% des détenteurs d’actions contre 10,2% en 2019.

Alors certes les jeunes sont plus nombreux, mais toujours très minoritaires. Ce qui veut tout de même dire que la norme reste de ne pas investir en bourse.

Certes toujours nettement minoritaires, les jeunes ont fait une percée notable dans l’investissement en actions au cours des trois dernières années.

En deux ans, la proportion de jeunes investis en actions a en outre presque doublé, passant de 2,3% à 4,4% de cette tranche d’âge.

Ça reste faible.

80% des Français n’ont pas un orteil en Bourse

En revanche, la ou je vous rejoins (et je suis étonné) les foyers avec des revenus < 3000€ net sont en effet présent

Les foyers dont le revenu mensuel net ne dépasse pas 3.000 euros représentent tout de même 32,3% des investisseurs en actions.

Mais on est d’accord qu’on ne parle ici que d’investissement en Bourse. Pas de rente (immobilière ou autre) ? Donc ça peut être du court terme pour une partie.

PS: j’ai l’impression d’avoir vu cette même conversation dans un autre fil ^^

Oui, il y a des proprios qui louent à prix honnête pour avoir un complément de retraite, des proprios qui ne te demandent pas de garant, des proprios qui t’envoient illico l’artisan quand tu as un souci, des proprios âgés qui se souviennent qu’ils ont été jeunes et locataires, je t’accorde que c’est stupide de faire des généralités au même titre que tous les locataires ne sont pas des parasites, des cassos’ destroys, des squatteurs en puissance.

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À nuancer quand même, dans la mesure où ces foyers représentent à peu près 60% des foyers (en 2018, date des derniers chiffres de l’INSEE sur le sujet, le haut du 6ème décile était à 3013€/mois), ne représenter que 32% des investisseurs en action montre qu’ils sont donc largement moins investis en action que la moyenne nationale.

Ce qui tend à confirmer quand même que les bas revenus investissent peu en actions, d’autant plus que dans les ménages à moins de 3000€ par mois, ils sont loin d’être tous des ménages à bas revenus : un ménage de deux adultes et deux enfants, à 3000€ par mois c’est effectivement un ménage à bas revenu, mais un célibataire sans enfant à 3000€ par mois, c’est déjà relativement aisé… Et les ménages à moins de 3000€ par mois qui ont investi en action, c’est sans doute bien plus des célibataires que des familles…

C’est de toute façon assez évident, quand tu as déjà du mal à joindre les deux bouts, c’est compliqué quand même d’investir quoi que ce soit dans des actions…

Et comme tu le soulignes, la bourse c’est encore très différents de l’immobilier… On peut investir en bourse même quand on n’arrive à peine à mettre 50€ de côté tous les mois (blague : pour ce prix, on peut avoir 50 000 actions du « Tesla français de l’hydrogène » :rofl:). On peut difficilement le faire dans l’immobilier locatif, parce que les banques ne suivront pas pour prêter le nécessaire, trop de risque : déjà quand tout se basse bien, le cash flow d’un investissement locatif financé largement à crédit est négatif, donc compliqué pour quelqu’un qui n’arrive pas à mettre grand chose de côté, mais en plus tout ne se passe pas toujours bien…

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Sans (grosse) mise de départ, c’est de l’utopie. Et encore ! Faut bien viser. Eviter les copros. Bien prendre conscience qu’on en prend pour des années de crédit, que d’ici là on peut divorcer, se séparer, si on est en couple, perdre son taf, à moins d’être fonctionnaire ultra-blindé, qu’il faudra envisager des travaux, des mises aux normes, éviter de cumuler les crédits comme je l’ai vu faire lors de la bubulle immo des années 2000 dans un petit village provençal où des couples en prenaient pour vingt ans de crédit et plus pour des maisons de village où tout était à refaire, plus le crédit des deux bagnoles, plus les loisirs de la progénitures. Certains couples explosaient en vol et le gars se retrouvait une main devant une main derrière. Proprio, mais à crédit !

Du diagnostiqueur au colleur d’isolation extérieure en passant par l’auditeur énergétique j’ai vu défiler une belle brochette d’opportunistes aussi peu convaincants que leurs algorithmes officiellement normés et validés.

Bref, je reste confortablement au chaud dans ma pierre de taille et torchis estampillée F

Et je bois à la déroute de ces profiteurs!

Je peux m’offrir quelques caisses de champagne avec la difference entre leurs ´expertises’ de mon budget chauffage et la réalité de ce que la vraie vie me coûte depuis longtemps