Orthographe, grammaire, conjugaison, aide à la rédaction, dictionnaires… Les correcteurs en lignes ont mille et une facettes. Mais une chose est sûre, ils sont là pour vous permettre de venir à bout des fautes de vos textes privés et professionnels et ne laisser en passer aucune. Chacun a sa spécialité, chacun a son public : on fait le tour de la question avec notre sélection de correcteurs en ligne.
Il ne reste plus qu’aux journalistes, à adopter un ou plusieurs de ces correcteurs. Car dès le titre et les premiers mots, nous avons droit à de belles fautes,quelle que soit la renommée du média 
. Mais comme le dit l’expression, c’est le cordonnier qui est le plus mal chaussé… donc ils vont continuer comme ça pendant longtemps. Sinon, article intéressant, mais malheureusement il n’y a rien de gratuit sans pubs. De l’open source serait bienvenu dans ce domaine
Il faudrait déjà commencer par changer les méthodes d’apprentissage de l’orthographe en scolaire. Elevé au tarif 5 fautes dans une dictée = 0, quelque soit la faute, je suis étonné de voir mes petits enfants me raconter avoir une très bonne note en dictée avec 10 fautes puisque maintenant une faute d’orthographe n’est pas notée de la même manière qu’une faute d’accord ou de conjugaison.
Le seul avantage est que cela fait la fortune des fournisseurs de logiciels.
+1 pour les deux réponses, au-dessus.
J’utilise Microsoft editor.
Chaque fois que je lis quelque chose en ligne, il y a des fautes et de très grosses fautes.
Ça me choque.
Il ne faut pas choquer la jeunesse. L’apprentissage d’aujourd’hui n’a PLUS RIEN à voir avec ce qu’on a connu dans les années 70. Je suis né en 1972.
Nos grands-parents lisaient, connaissaient l’orthographe. On a appliqué l’apprentissage de la lecture non plus sur la méthode syllabique mais globale. Ca marchait bien, mais ils ont voulu tout changer, résultat des tonnes d’enfants qui ne savent pas lire, sont dyslexiques, mettent 1h à lire une phrase.
Les notes doivent être élevées, ne pas noter trop dur pour ne pas froisser l’élève, la notion d’excellence a disparu. Il n’y a plus de récompenses en fin d’année, les fameux livres que le professeur nous donnait, terminé.
Certains proposent la disparition des notes, donc comment savoir où l’on se situe par rapport aux autres sans notes?
Les dictées, pareil, voir même on prépare le texte la veille et on régurgite le tout. Bon ça ça ne date pas d’hier, mon prof en CM1 le faisait.