Commentaires : Les Français ont une chance incroyable avec leurs forfaits mobiles et box fibre

N’oublies pas non plus que le père Niel s’est appuyé sur les infrastructures de Orange pendant quelques années pour alléger les forfaits

Au mieux 1.38 ?? Le moins cher en region parisienne c est 1,78 , E10 , chez leclerc, et y a que toi et la machine.
L huile d olive ? Moins de 5€ le litre chez carrefour , alors qu en region parisienne , 10€ la marque carrefour, et je comparre de l huile d olive extra vierge.
Je ne parle même pas des prix des fruits et légumes et des produits laitiers …
J’ai voyagé cet été de la region parisienne à malaga, en passant plusieurs nuits en Andorre, Montpellier, Madrid, et Bordeaux (dans le désordre sinon c’est con) je ne sort pas des chiffres du fion.

Ce que j essaye de dire , c est que s il y a augmentation des prix , la justification est "mais vois les français vous payez tres peu cher par rapport aux européens " alors que pour tout le reste , on paye extra cher !

Clairement. Je veux dire par là que si nous avons des forfaits extrêmement compétitifs, c’est aussi parce que c’est le reliquat du service public. Tous les opérateurs en ont profité grâce à l’itinérance.
Du moins pendant le temps de la VDSL. Les investissements sur la fibre a du leur coûter cher mais j’imagine aussi que officieusement, certains leur ont rappelé qu’ils s’étaient fortement engraissés les premières années.

Perso depuis plus de 10 ans c’est mon forfait free dans un routeur 3G, puis 4G, puis 5G qui à remplacé ma box.
Au départ, c’était à cause d’un désert numérique cablé.
Mais ou que j’aille par la suite, je ne reprendrai pas de box, le volume data et les débits 4G+ / 5G de Free me conviennent totalement.

Hum pas sur que le niveau de vie rentre beaucoup en compte dans le calcul d’un forfait. Ni d’ailleurs être le fait d’être la 1er, 2eme ou 3eme économie comme suggéré dans l’article …
Quitte à parler de niveau de vie… Beaucoup de gens se plaignent en France mais parfois une petite virée dans les pays voisins… Remettrait les idées en place a certains :thinking::thinking::thinking:
Les tarifs sont avant tout une décision des entreprises, peut être avec l’accord de l’état d’ailleurs… mais c’est avant tout un choix commercial…

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C’est quoi l’objectif de la remarque et le lien entre les forfaits téléphone et l’huile d’olive ? :flushed::flushed::flushed::flushed:

C’est que comparé aux autres, on paie moins cher pour le smartphone mais plus cher pour tout le reste. Alors peut-être qu’au fond, on n’est pas si chanceux que ça en termes de pouvoir d’achat. C’est pas faux.

C’est à dire ? Parce que ça fait longtemps que je vois des gens dire que l’électricité, les abonnements au Net, les assurances autos, l’alimentation et beaucoup d’autres choses sont moins chers en France qu’en Belgique. Or, les salaires et la pression fiscale étant à peu de chose près identiques dans nos deux pays, on pourrait en conclure que le coût global de la vie est donc moins élevé en France. ^^

Cette infrastructure exceptionnelle découle d’investissements publics importants

Je suis content du réseau et du prix des abonnements, mais j’aimerais bien savoir ce que je paie vraiment, en partie avec mes impôts

En France, si on a des box triple play, des prix super bas pour Internet et les mobiles, (sans parler de l’époque du fixe gratuit, etc) c’est uniquement grâce à Free…

L’article ne parle que du prix des forfaits mobile et fibre, pas du pouvoir d’achat global.
Soit dit en passant il est quasiment impossible de comparer les pouvoirs d’achat, ça dépend tellement de paramètres personnels et locaux. Si tu as des gosses et des problèmes de santé chroniques (j’en sais quelque chose…), tu auras un pouvoir d’achat très supérieur en France par rapport aux Etats-Unis par exemple, alors que si tu es en bonne santé et sur un métier recherché c’est l’inverse. Et même, d’une région à l’autre en France, il y a de grosses différences entre les salaires, les logements, la bouffe, … Les moyennes ne veulent rien dire.

Ca reste à voir. Le prix tient généralement à 2 facteurs : les coûts à amortir d’un côté pour dégager un bénéfice, et l’état de l’offre et de la demande.

Fixer un prix qui ne réponde à aucune demande parce que trop cher rentre en ligne de compte. C’est d’ailleurs toute la complication qu’il y a entre la grande distribution, les industriels et les agriculteurs et éleveurs. D’où intervention de l’état pour fixer des règles.

C’est caché, mais cela commence à 24€

Entièrement d’accord. ^^

Simple exemple, en Belgique le salaire moyen serait paraît-il de 2.900 €/mois nets. J’ai un gros doute que ce soit vrai pour la majorité des travailleurs. :sweat_smile:

Non.

Non

Oui, et alors?

Tu peux le répéter autant de fois que tu veux, c’est toujours non.

Quel rapport? L’itinérance c’est pour le mobile, seul Free a utilisé un réseau en itinérance.

Ouf, enfin quelqu’un de rationnel.

Merci, sauf pour l’accord de l’état qui n’a rien à voir dans cette histoire. L’état n’a eu que la main, de manière indirecte, sur les tarifs de location des infrastructures.

Pas grand chose, Alexandre Archambault (ancien de Free) avait l’habitude de retracer l’historique des réseaux en France. En fait, ce sont les clients qui ont payé au travers du monopole et pendant longtemps les PTT (lointain ancêtre d’Orange) était une source de revenu plutôt qu’un coût pour l’état.

Le prix inclut :

  • tes coûts (première base) à la fois direct (matériel, humain) et indirect (recherche etc.)
  • l’état du marché
  • le niveau d’acceptabilité du prix (ex: les abonnements au foot étaient trop cher, pas acceptable, les clients ont piraté, l’abonnement a baissé, les clients reviennent). Il y a des domaines où tu testes avant d’établir un prix auprès de client test.

Pour le monde agricole, le problème est qu’il y a confrontation avec des prix de marché, souvent internationaux, sans rapport avec nos coûts.

Tu peux le nier autant que tu veux, mais je propose des sources. Où sont les tiennes ?

France Télécom → Orange → itinérance Free mobile donc oui, il y a un rapport. Et on parle bien de forfaits mobiles ici, non ?
Au passage : https://www.universfreebox.com/article/582801/orange-propose-aussi-litinerance-2g-3g-a-bouygues-telecom-avec-un-contrat-similaire-a-free-mobile
https://fr.wikipedia.org/wiki/Numericable

Le premier, c’est l’offre et la demande. Les abonnement au fait « étaient trop cher » et des abonnés ne pouvaient pas se le permettre. On en revient au pouvoir d’achat.

Du coup, tu peux argumenter autant que tu le veux, sans citer de sources pour les opposer aux miennes, ça vaut pas un kopek.

Tu lis tes sources au moins? Déjà, sur celle de Wikipédia, il n’est rien dit des finances et d’un prélèvement sur le budget de l’état. Par contre, dans celle sur l’histoire des télécoms, il y a ces passages qui auraient dû te faire tiquer.
" En 1974, le président Valéry Giscard d’Estaing a pris une décision qui a fait date : la modernisation du réseau téléphonique français était considérée comme une priorité nationale importante, mais l’objectif devait être atteint sans grever lourdement le budget de l’État. Cet objectif a été atteint avec succès. "
« Depuis 1983, le Trésor a prélevé une part importante de ces recettes, ce qui a limité les possibilités de réinvestissement. »

Cela va dans le sens de ce que j’indiquais : l’essentiel du développement a été fait avec des emprunts supportés par l’ancêtre de FT et donc pas sur fond public, encore moins sur des impôts.

Ben le problème, c’est que l’itinérance concerne le mobile qui a été entièrement développé par une entité privée (France télécom), pas sur les impôts. Si pour la première affirmation, c’est complexe à comprendre que les réseaux n’ont pas été financé par l’impôt, pour celle-ci c’est beaucoup plus accessible. C’est l’affirmation de départ que je contredis.

Le pouvoir d’achat des français n’est pas si différents des voisins pour justifier l’écart, arrêtez le ridicule.

Il faudrait commencer à lire tes sources.

Bon, puisque tu ne lis pas tes sources, je t’en donne d’autres, le Sénat. C’est assez fiable comme source non?
https://www.senat.fr/rap/r95-260/r95-260_mono.html#toc29

Et je te copie-colle l’extrait qui va bien:

" Pour résorber ce retard des communications, on a eu recours aux capitaux internationaux et privés en créant la Caisse nationale des télécommunications (CNT), puis des sociétés par actions louant des équipements à l’administration (Finextel, Codetel…). On l’a souvent oublié, mais à l’époque, ce sont les forces du marché qui sont venues au secours du service public et ont créé les conditions de sa qualité. "

Et je te laisse lire la suite des explications des différents montages privés qui ont permit d’installer le téléphone de manière massive en France. Les impôts des français n’ont rien payé, par contre l’état a donné un monopole qui a permis de rentabiliser et de payer rapidement des emprunts.

Justement, je lis mes sources et je comprends ce que je lis. Tu as peut être lu en diagonale. Je me vois obligé de balancer un pavé pour que tu comprenne.

Sous la Révolution française, en 1792, le premier réseau de communication voit le jour pour permettre d’acheminer rapidement les informations dans un pays en guerre et peu sûr. Il s’agit du réseau de télégraphie optique de Chappe.

Après l’invention du télégraphe électrique et ensuite du téléphone, l’État français crée en 1878 un ministère des Postes et Télégraphes. Ce dernier annexe bientôt les services du téléphone, qui sont nationalisés en 1889. Pourtant ce n’est qu’en 1923, que le second « T » apparaît, le ministère des P & T devenant celui des PTT.

En 1941, une Direction générale des Télécommunications est créée au sein de ce ministère et, en 1944, le Centre national d’études des télécommunications (CNET), a pour mission de développer l’industrie des télécommunications en France.

Entre 1950 et 1965, la demande d’abonnements téléphoniques est très supérieure aux possibilités de raccordement des P&T, le temps d’attente peut atteindre plusieurs années dans les grandes villes, des numéros de téléphones se revendent très cher.

Dans les années 1970, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard sur plusieurs autres nations avec le programme « Delta LP » (accroissement des lignes principales). C’est à cette époque que fut construite la plus grande partie de la [boucle locale] (https://fr.wikipedia.org/wiki/Boucle_locale_en_France).
ici tu peux lire que c’est la France qui crée la majorité du réseau cuivre.
De plus, avec le concours des industriels français, sont mis au point par les ingénieurs et chercheurs du CNET, la commutation électronique « Désormais le réseau téléphonique français est tout électronique : reportage sur les avantages d’un tel équipement. Interview de Jean Pierre POITEVIN, directeur de France Télécom. [archive] , le Minitel en 1980, le réseau [Radiocom 2000](https://fr.wikipedia.org/wiki/Radiocom_2000) en 1986, la norme [GSM](https://fr.wikipedia.org/wiki/Global_System_for_Mobile_Communications).
Ca, ce sont les débuts des téléphones portables, toujours par le service public. Cela dit le téléphone portable n’est alors ni grand public ni accessible financièrement

> À cette époque, le service public du téléphone est arrivé à développer un réseau extrêmement dense, parmi les plus performants du monde, il assure à tous ses employés le statut de fonctionnaire.
Il faut que je traduire où tu comprends la phrase ?

Création de la société France Télécom

Pour répondre à une directive européenne et réorganiser le secteur des télécommunications français suivant le modèle existant aux États-Unis d’un marché concurrentiel des télécommunications (téléphonie fixe principalement) sur lequel opèrent des entreprises commerciales internationales cotées en bourse, la Direction générale des télécommunications, qui est alors une administration, prend le nom de France Télécom le 1er janvier 1988.

La loi du 2 juillet 1990 transforme l’administration France Télécom en un établissement de droit public, dont Marcel Roulet est le premier président ; il est doté d’une personnalité morale distincte de l’État et acquiert une indépendance financière. Auparavant, le budget de dépense des Télécommunications était inscrit au sein du budget annexe des PTT voté chaque année par l’Assemblée nationale, tandis que les recettes étaient considérées comme des taxes et encaissées par le Trésor public, laissant chaque année un très important excédent à l’État[8] Avec la nouvelle organisation, France Télécom conserve ses recettes, les utilise pour ses dépenses et reverse l’excédent très important[réf. nécessaire] à son actionnaire unique qui est l’État.
Entreprise privée à mission de service public dont le seul actionnaire est l’État = France Télécom est toujours du service public

Le 1er octobre 1991, France Télécom commence à Strasbourg une expérience-pilote de téléphonie sans fil grand public en ville. Le Bi-Bop est commercialisé « en grand » à partir d’avril 1993 à Paris, Lille et dans quelques lieux de villégiature[9].

> Le 1er juillet 1992, France Télécom lance Itineris, le premier opérateur de téléphonie mobile à la norme de 2e génération GSM[10].
Itinéris = 1ere offre de téléphonie portable grand public, sous France Télécom. Toujours du service public.

En 1993-1994, l’accord Atlas conclut un rapprochement France Télécom-Deutsche Telekom[11].

En juin 1994, France Télécom et Deutsche Telekom prennent une participation dans Sprint, 3e opérateur américain[11].

> France Télécom devient également un fournisseur d’accès à Internet en 1995 avec la création de Wanadoo[10], deux ans après les premiers fournisseurs, et après avoir tenté d’empêcher l’arrivée d’Internet en France.
Premières offres ADSL faites par France Télécom (les offres précédentes sont du bas débit, et il y en a 2 avant France Télécom).

En septembre 1995, Michel Bon est nommé à la tête du groupe France Télécom[12].

Pour préparer l’ouverture à la concurrence au 1er janvier 1998, une loi est votée en juillet 1996 transformant l’exploitant public en société anonyme dont l’État français est le seul actionnaire[13].

Entrée en Bourse et bulle Internet (1997-2000)

En 1997, le capital de la nouvelle société anonyme a été ouvert avec succès. L’action est vendue 27 euros[14]. Une seconde ouverture eut lieu en 1998, malgré la crise des marchés émergents, puis la bulle Internet rend les bourses euphoriques en 1999.

Partie en retard dans le train de l’internationalisation lancé par des concurrents internationaux tels Vodafone, France Télécom se met à chercher des cibles au plus fort de la valorisation des années de la bulle Internet. Cela d’autant plus que son alliance avec Deutsche Telekom, caractérisée par une participation au capital croisée de 2 %, a éclaté lorsque cette dernière a annoncé un projet de rapprochement avec Telecom Italia (finalement abandonné) sans avertir les Français.

En mars 2000, l’action France Télécom atteint 153,30 € puis son plus haut historique à 219 € avant de redescendre, brutalement[15].

Le groupe France Télécom rachète la grande majorité d’Orange en 2000[16] et l’intégralité en 2003[17] ; il fusionne ensuite ses activités mobiles (Itinéris, OLA et Mobicarte) en une filiale nommée Orange. France Télécom procède également à de nombreuses autres acquisitions de sociétés (revendues pour certaines) dans le monde devenant le quatrième opérateur mondial par sa taille (GlobalOne, Equant, Internet Telecom, Freeserve, EresMas, participation dans Wind, NTL, Mobilcom, etc.).
France Télécom (toujours service public) rachète Orange, lui refile tout ce qui concerne le réseau (portable et adsl) jusqu’à ce que ça devienne une SA pour respecter le droit européen.

Je t’ai mis tout plein d’annotations pour que tu comprennes bien.

Edit : ta citation du Sénat dit que la France a eu recours à des capitaux étrangers. De la dette en fait. Que les Français ont remboursé avec les impôts.
je cite de ta propre source :

" Jusqu’alors les télécommunications pratiquaient un autofinancement intégral : à partir du Ve Plan, pour faire face à l’accroissement des investissements, sans faire appel uniquement à des augmentations de tarifs, l’administration des PTT sera autorisée à emprunter, même sur les marchés extérieurs. Ce sera l’objet de la Caisse nationale des télécommunications (CNT) qui sera créée par un décret du 3 octobre 1967.

une autre :

**Par la suite, à partir de 1971, la Caisse nationale des télécommunications sera autorisée à émettre aussi des emprunts sur le marché français et même, après une modification de ses statuts en 1975, à " participer au capital de sociétés ayant le statut de banque ou d’établissement financier et dont l’objet exclusif est le financement des télécommunications " (…) L’activité de la CNT deviendra très importante à partir de 1974 : 2,6 milliards de francs seront empruntés en 1974, 3,9 en 1975, 4,6 en 1976, 5,5 en 1977, 7,3 en 1978, 8,9 en 1979, 7,1 en 1980 et 8,6 en 1981. A la fin de 1981 la dette de la Caisse dépassait 50 milliards de francs

Toujours de la dette. Donc des impôts. Ta propre source te contredit.

L’art de la synthèse montre que l’on a compris, citer des parties très importante sans synthétiser montre que l’on remplit. Vous ne deviez pas être très bon en résumé et en compréhensions de texte.

Euh, la France utilisé de manière générique, sans préciser si c’est l’état ou les PTT sous impulsion de l’état propriétaire. Rien n’indique que l’argent vient des impôts.

Un statut de fonctionnaire ne veut pas dire que c’est payé par l’impôt. Je sais, c’est dur à comprendre pour vous.

C’est intéressant la mise en gras, qui oublie la partie évoquant l’orientation des flux financier.

Est-ce que cela dit que c’est payé par l’impôt? Non.

Je vois surtout que vous n’avez toujours pas compris:

  • au début de la téléphonie, les PTT ont construit le réseau par autofinancement (les clients payent la construction)
  • puis ils ont accéléré avec des crédits et de l’endettement, les dettes étant remboursées par les clients et par le monopole.

Ben non, de la dette, toutes les entreprises privées en ont. Vous avez du mal à comprendre, la dette des PTT, devenu FT puis Orange, c’est une dette privée et les impôts n’ont rien à voir avec cela. Ce n’est en rien une dette d’état et aucune des sources, que vous avez décidément beaucoup de mal à lire, ne dit que c’est de l’impôt qui paye ces dettes, au contraire : si FT est arrivé avec de la dette en étant privatisé, c’est parce que l’état a prélevé des dividendes. Et là encore, je vous source du Sénat:
" En outre, il convient de rappeler que dans le cadre de la réforme de 1990, France Télécom s’est trouvé substituée à la Caisse nationale des Télécommunications pour le remboursement de ses financements obligataires. "
En gros, la dette des télécoms n’est jamais rentrée dans le budget de l’état, elle n’a jamais été payée par de l’impôt et au contraire « essentiellement, par l’obligation faite, depuis 1982, à l’ancienne direction générale des télécommunications, de reverser à l’Etat une partie des bénéfices inscrits au budget annexe des P et T. Ce prélèvement -qui a culminé à 18,3 milliards de francs en 1986- avait naturellement suscité de coûteux recours au marché financier pour assurer les investissements. »
Là encore, l’état a prélevé des dividendes sans laisser des bénéfices pour faire des investissements ou simplement rembourser la dette.

PS: vous n’avez pas de chance, j’ai appris ces infos d’un des meilleurs connaisseurs du système, le juriste Alexandre Archambault qui a longuement développé ces explications sur Usenet, un réseau social où les gens arrivaient à lire les autres et à comprendre que la personne maitrisait le sujet.

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Exact, les fonctionnaires de l’ancienne PTT (Poste Téléphone Télécommunication) étaient les seuls fonctionnaires à ne pas être payés par les impôts des français mais par le produit des ventes des PTT.

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