Alors que 30 millions de véhicules électriques devraient circuler en Europe d’ici à 2030, la sécurisation des bornes de recharge devient cruciale. Les cybercriminels sont prêts à exploiter les vulnérabilités de ces nouveaux réseaux connectés.
Commentaires : Les bornes de recharge des voitures électriques sont les nouvelles cibles des hackers
La solution ultime de sécurité ne serait pas de ne connecter que le minimum au réseau ?
Mais cela gênerait les systèmes de cyber-espionnage…
Le bornes de recharge doivent être connectées au réseau, pour pouvoir gérer les paiements.
C’est pareil pour les pompes à carburant d’ailleurs.
Ça serait faisable sans réseau, mais plus compliqué et plus coûteux, puisque le système de paiement ne pourrait pas communiquer avec la borne/pompe pour savoir combien facturer, et il faudrait donc un employé qui aille relever sur la borne/pompe le montant à facturer pour aller le saisir dans le système de paiement.
Ou alors faudrait des bornes/pompes avec un monnayeur intégré pour pouvoir payer en espèces. Mais elles deviendrait alors une cible intéressante pour des voleurs…
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« Tenez, en 2022, plusieurs réseaux de bornes ont furent paralysés par des ransomwares sophistiqués, et à l’époque, les opérateurs avaient été contraints de payer les rançons pour débloquer leurs systèmes. »
Ont furent… Petite coquille.
@nicgrover C’est remonté en correction, il sera privé de dessert pour la peine 
Edit : et c’est même déjà corrigé
Pas mal de pompes ont eu ça autrefois en Belgique avant la généralisation des terminaux de paiement Bancontact. C’est pour ça que quand j’allais en France, j’étais étonné de ne pas pouvoir acheter de carburant si la boutique était fermée et qu’il n’y avait plus personne. ^^
On glissait des billets dans un tiroir avant de prendre du carburant. Deux soucis, c’est qu’il fallait que les billets soient en parfait état, sinon ils ne passaient pas et si vous mettiez par exemple un billet de 100 francs, il fallait prendre du carburant pour la somme exacte, le système ne pouvait pas rendre la monnaie.
Vous n’avez jamais vu de pompe à essence avec lecteur de carte bancaire ? C’est quoi la difficulté de servir de l’électricité à la place ?
La « communication » entre la pompe et le véhicule pour la puissance, le taux de charge etc. n’a pas besoin d’un réseau.
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Bien sûr que si je connais, et ça existe aussi en électrique.
Mais ça ne dispense pas d’une connexion réseau. Le système de paiement, il a besoin de réseau pour communiquer avec la banque.
Les pompes à essence peuvent bel et bien aussi être attaquées via le réseau : En Iran, une cyberattaque perturbe la distribution d’essence dans plus de la moitié des stations-service du pays
C’est sans doute plus rare parce que les pompes sont souvent plus anciennes, mais les pompes récentes donnent sans doute accès à bien plus de données sur le réseau.
Et dans le cas des bornes électriques, il y aussi des besoins supplémentaires qui justifient une connexion plus poussée, comme le fait de pouvoir vérifier à distance si une borne est libre, ou encore pouvoir surveiller la charge à distance, puisqu’elle est plus longue qu’un plein de carburant et qu’on ne reste pas planté à côté de la voiture pendant toute la charge…
En Belgique, c’était l’enfer pour un étranger de faire le plein le soir à Bruxelles, impossible de payer avec une VISA après 18h et la fermeture de la boutique ! Seule la Mastercard était acceptée par l’automate ! C’était au début des années 90.
Par contre, en Allemagne, il y a encore de petits restaurants qui acceptent la Maestro (qui appartient à Mastercard) mais ni la Mastercard ni la VISA !
Je confirme, pour être allé 2 fois à Spa vers 1989, la carte visa était une vraie galère…
Hotel, restaurant, etc…ne connaissaient que la Mastercard
Normal, puisqu’il fallait à l’époque passer physiquement la carte Visa dans un sabot. Mais en ce qui concerne les moyens de paiement par billets, les systèmes dont je parlais plus haut foisonnaient dans la région du Centre dans les années 70 et 80. ^^