Les tentatives de Meta pour faire taire une ancienne cadre ont produit l’effet inverse. « Careless People », le livre de Sarah Wynn-Williams que le géant des réseaux sociaux cherchait à censurer, s’est propulsé en tête des ventes.
En même temps il y’a encore des gens qui croient que meta est une entreprise vertueuse qui lutte pour le bien être de l’humanité ? C’est la définition même de l’ogre dévoreur de pognon sans aucune limite.
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Trump, Musk, Zuckerberg, Altman… L’internationale fasciste est en marche.
L’administration Trump censure désormais les travaux sur les sites gouvernementaux et scientifiques, dans les manuels, dans la recherche, qui contiennent les mots et expressions « femme », « changement climatique », « climat », « LGBT », « personne enceinte », « handicap », « non binaire », « communauté autochtone »…
Goebbels n’aurait pas fait mieux. Avec tous les cadors de la tech à sa botte qui détiennent les clés de la transmission et de l’information, Trump a désormais les coudées franches. Pour reprendre un néologisme tordu qui leur est cher, de « l’hyper-wokisme fasciste ».
C’est quoi la prochaine étape pour finir de museler l’opinion et achever ce qu’il reste de démocratie aux USA ? Combien de temps des lanceurs d’alerte comme Sarah Wynn-Williams vont-ils encore pouvoir s’exprimer sans subir les foudres de ce gouvernement de cinglés et de ses fanatiques lobotomisés ?
Beaucoup regrettent déjà leur vote MAGA. Il est un peu tard. Trump prétendait rendre sa « grandeur à l’Amérique », il est en train d’obtenir tout l’inverse, pour le plus grand plaisir de Poutine et de Xi.
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Ceux qui ont vu le film comprendront que personnellement, je trouve que la gouvernance selon Trump ressemble de plus en plus au gouvernement anglais dans V pour Vendetta. A quand une milice équivalente au « Doigt » pour patrouiller dans les rues ? 
Remplacez Angleterre par USA, Sutler par Trump, la milice par les groupes suprémacistes et la BTN par Fox News et vous verrez que les USA n’en sont vraiment plus très loin. 
Au 21e siècle, après un attentat utilisant un mystérieux virus visant trois sites importants par leur symbolique (l’école primaire Sainte-Mary, la station de métro Victoria et l’usine de traitement des eaux Three Waters), l’Angleterre est dirigée par un parti fasciste avec à sa tête Adam Sutler. Ce dernier, ayant profité du climat de peur affectant la population, a facilement institué un régime à la tête duquel il s’est autoproclamé « Haut Chancelier ». Un couvre-feu, dont le respect est contrôlé par sa milice, « Le Doigt », a été instauré sur tout le territoire. En parallèle, les migrants, les païens, les musulmans, les malades physiques ou mentaux et tous ceux dont les idées pouvaient s’en approcher ont été bannis, et les opposants au régime ou minorités, tels les homosexuels, pourchassés lors de l’« Assainissement ». Les plus élémentaires libertés fondamentales (la liberté d’expression, en particulier) ont été abandonnées au nom de la sécurité nationale et de la guerre contre le terrorisme. Les médias sont muselés et la BTN, unique chaîne de télévision, est le principal instrument de propagande du parti