De retour sur son site de lancement depuis quelques jours, cette fois le Space Launch System (SLS) et la capsule Orion sont prêts à décoller pour la mission Artemis-I.
Merci pour ce superbe article qui nous explique une mission spatiale longue, couteuse et qui restera dans les annales de l’histoire spatiale, je vais essayer de me rappeler de la regarder décoller, en tout cas, bel exploit de la Nasa et tous ceux qui ont travaillé sur cette mission, je lui souhaites toutes les bonnes augures pour réussir sa mission.
bon décollage et voyage à artemis I
Je me souviens du 21 juillet 1969, j’avais 5 ans (si si…)On était en vacances dans une petite caravane et il y avait la (petite) T.V. avec antenne. On a donc vu « Capricorn one » !!! Nan je déconne… Hâte de la suite… Merci pour l’article Eric.
Un commentaire dans un journal " Et ça va servir à quoi de retourner sur la lune ? Pendant que la terre est gravement malade de sa surpopulation et de sa pollution , des pays dépensent des fortunes colossales pour explorer l’univers . Sans doute pour échapper à la terre ?
Un magnifique patrimoine naturel qu’on estropie à qui mieux mieux , jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à bouffer , et que les survivants s’entretuent . Ça viendra , avant qu’ils aient trouvé la planète de rechange ."
Article intéressant, merci
Malheureusement c’est un commentaire qui revient bien trop souvent, alors que si l’on prenait les budgets militaires la force d’action serait bien supérieure pour traiter ces problématiques que le budget « minuscule en comparaison » 780 milliards pour le militaire contre 24 pour la NASA.
Evidemment l’exploration spatiale coute chère mais elle a des applications dans la vie de tous les jours, car il y a énormément de recherche au delà de l’exploration spatiale. L’exemple sans doute le plus connu étant la couverture de survie qui a été développée avant tout pour les satellites. Et puis les satellites de recherche apporte bien des informations utiles.
Vivement demain pour le lancement, je n’étais pas né en 69, mais j’espère bien voir effectivement un retour sur la Lune pendant ma vie
Et puis avec l’évolution technologique depuis presque 60 ans les images qu’on devrait en avoir seront tout à fait autre chose
Que d’argent dépensé pour une illusion, comme si l’homme pouvait durablement s’établir sur une autre planète !
Imaginons les avancées scientifiques que l’on aurait pu faire dans d’autres domaines (notamment la domestication de l’hydrogène par exemple) si on y avait consacré ces sommes folles …
Excellent article.
… si vous aimiez tellement cet article, vous auriez cliqué sur le coeur rouge en fin d’article comme je l’a fait à l’instant…
bah voilà…reporté…des fuites et un problème de moteur. Je le savais qu’ils allait encore foirer. J’avais un mauvais sentiment. Ce projet dure trop longtemps. Espérons que le prochain décollage va fonctionner, mais ceci ne présente rien de bon pour les futures missions sur la lune. Dommage…
Rien n’a « foiré », car un vrai raté c’est de décoller et de découvrir le problème ensuite.
Personne ne se souvient des reports de tir de Saturn V pour les missions Apollo (et pourtant…) et plusieurs missions navette en ont eu entre 5 et 6.
Il ne fait aucun doute que l’exploration spatiale est importante de nos jours. Cela me rend heureux que l’humanité l’explore de plus en plus. Merci pour l’article !
« 26 jours, 10 heures et 53 minutes : c’est la durée estimée de la mission Artemis-I au complet jusqu’à son retour le 10 octobre »
Je crois qu’il y a une coquille de date, décembre plutôt ?
Ben en fait, l’article a 2 mois, il est juste réapparu aujourd’hui avec le lancement effectif d’Artemis. Donc ce sont les dates originalement prévues pour la mission qui sont utilisées.
ah ben oui
Encore merci pour la mise à jour de cet excellent article
Quelle est l’altitude de la fusee lorsqu’elle se separe de ses deux propulseurs lateraux ? Ils sont detruit apres leur impact au sol ou ils sont recuperes ?
L’article dit : "SLS les éjecte ensuite (les boosters) après 2 minutes et 12 secondes de vol pour continuer avec la seule poussée de ses quatre moteurs RS-25 hérités du programme de navettes STS. L’étage central de la fusée arrive lui-même en orbite très basse en se séparant de l’étage supérieur après 8 minutes et 20 secondes, et à plus de 160 km d’altitude… Selon les calculs de la NASA, il lui faut plus de 1 h 45 de vol pour retomber dans l’océan Pacifique ! "
L’altitude de largage des propulseurs latéraux est d’environ 12 km.