Commentaires : Le site Bounty, nouvelle version du site Coco, est désormais inquiété par la justice

Le site Bounty est dans le viseur des autorités. Il est soupçonné d’être utilisé comme plateforme pour de nombreuses infractions criminelles.

Sur leur compte X ils tentent de montrer patte blanche avec les captures gmail prouvant la coopération avec les autorités.
De toute manière, tous les salons de t’chat sans inscription encore actifs dans le monde sont des pots de miel (honeypot) mis en place par les services de sécurité intérieure.

Pardon ?

preuve/20

Il suffit de rechercher dans Google ‹ chat without registration › puis nom du site + arrest. Il y a de nombreuses affaires sordides et impliquant des pédocriminels. Et malgré tout, ces sites sont toujours en ligne.

Et ça ça prouve que

? :thinking:

Ca ne s’applique peut être pas ici, mais il faut se poser du pourquoi ces espaces de discussions non régulés ont le droit d’exister, comme Chatib (1er résultat dans Google pour chat without registration, et réputé pour les affaires criminels) ou les *Chans qui véhiculent des propos extrêmistes.

c’est un peu la même chose pour tous les sites avec des comportements illégaux non ? Je ne comprends pas le « ont le droit d’exister », ça me donne l’impression d’inverser les causes et conséquence en fournissant une explication trop simple. Sans doute que certains de ces sites sont « monitoré » mais de là à dire qu’ils sont mis en place par les autorités…

J’ai peur que ce soit par manque de temps et de moyens judiciaires que tout ça existe non ?

C’est à toi de fournir les preuves, pas à nous de les chercher…

Ok, c’était une exagération. Mais pour d’autres affaires, les sites sont pourtant bien « taken down » par le FBI/Interpol etc en relation avec le piratage et d’autres activités criminelles. Après évidemment, une plateforme de chat en ligne gratuite et sans inscription n’est pas illégale en soi, c’est ce qu’en fait l’utilisateur qui peut l’être…et c’est le point le plus important.

@Pernel
https://www.google.com/search?q=%2Bchatib+arrest
Bien sûr des enquêteurs utilisent ces plateformes dans le cadre d’ « undercover operations » pour retrouver les prédateurs.
Il faudrait investiguer le background des propriétaires des sites pour donner une réponse définitive. Peu de chances de trouver quelque chose de concluant dans l’internet public.

Ah mais oui on est d’accord mais ça prend du temps etc. Pardon je pensais que tu avais vu passer quelque chose là dessus et j’essayais de savoir quoi. Je crois que les sites sont fermés quand on a des éléments qui montrent qu’ils sont maintenu essentiellement pour contourner la loi. Les trucs comme chatroulette etc étant déjà bien glauque par moment.

c’est pas ce qu’on appelle une preuve, mais visiblement c’est beaucoup demander.