Le géant américain veut à son tour sécuriser un approvisionnement important en électricité. Et lui aussi se tourne vers le nucléaire. Mais en privilégiant une technologie plus avancée que ses concurrents !
Google…OK
Apple…Missing ?
Facebook…Missing ?
Amazon…OK
Microsoft…OK
SMR ou pas, ça reste des réacteurs nucléaires. S’ils commencent à se répandre un peu partout, il faut espérer que ceux qui s’en occuperont soient compétents et qualifiés. 
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Comme quoi les temps changent.
La vérité d’un jour n’est pas celle du lendemain.
Ce sont bien là les seuls soucis avec l’énergie nucléaire : la compétence des gens mais surtout les conseils d’administrations qui sont derrière. Car la différence entre un conseil d’administration et les dirigeants soviétiques de l’époque sont minimes (on est sur la même logique du « profit et image » plutôt que « bien-faire et compétence »). Il faut que ça reste étatique.
la logique du SMR, dans l’équation qu’on retrouve sur tous les protos, c’est de demander quasi zéro maintenance comparé au « gros » nucléaire, et d’être jetable ou pas loin en fin de carrière pour être remplacé par un autre.
Ca reste quand même un réacteur nucléaire qui n’est pas à l’abri d’un souci ou d’un couac, ce n’est pas un bête générateur à essence. 
Hé oui, il y a ce problème de sécurité en général. Déjà on vous dit à l’avance : « …quasi aucune maintenance… » quand on sait que la mode est aux économies depuis plusieurs années. Des économies non seulement sur la maintenance mais aussi sur les matériaux de fabrication ou d’assemblage du produit final. Boeing, suivez mon regard ! C’est pour l’analogie.