Commentaires : Le premier vendeur de vêtements en France n'est pas celui que vous croyez

Mais qui est donc ce géant de la vente en ligne qui se charge d’habiller les Français ? Kiabi ? H&M ? Amazon ? La Halle ? Que nenni, puisqu’il s’agit d’une application qui nous vient de Lituanie (et que vous utilisez forcément).

« la dimension écologique entre également en compte lors d’un achat sur Vinted, sans oublier bien sûr la possibilité de revendre aisément les produits dont on n’a plus l’utilité »
Ca c’est le plus gros mensonge de Vinted et sa bonne image. Arretez d’acheter des choses dont vous n’avez pas l’utilité en premier lieu.
C’est se donner une fausse bonne conscience et c’est très différent du marché d’occasion qui lui est vertueux. On croule sous les vêtements, meme neufs, et de plus en plus de mauvaise qualité d’ailleurs. Les associations jettent des tonnes de vêtements tellement il y en a, et beaucoup ne sont meme pas utilisables alors que neufs.

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« (et que vous utilisez forcément) »

Bah non, raté.

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J’aimerai savoir combien de vêtements sont achetés vendus réachetés revendus etc… Parce que d’après ce j’ai entendu certaines personnes achètent , le portent une fois et le revendent presque ausssitôt. donc le vêtement voyage, voyage… le bilan carbone doit être joli !

La seule sape « écolo » est celle qui a précédé de longtemps la triade Shein/Temu/Aliexpress, Amazon, Vinted, Noz, Zeeman and co : j’ai nommé la bonne vieille fripe, vendue au kilo dans certaines boutiques où, il y a un demi-siècle on côtoyait travailleurs immigrés, babas-cool, bohèmes, fauches, déclassés, et où on trouve aujourd’hui des bobos, des post-hipsters, des babs attardés, des bohèmes moins aisés que les bobos, ainsi que des migrants. Chez moi, la boutique du Secours pop’ où tout est à 2 euros, est très prisée par ces publics.

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