Qu’il se rapproche de Jacques Rougerie et de son organisation, si ce n’est pas déjà fait.
En matière de vie sous marine, il a quelques longueurs d’avance.
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non tu conserves les problèmes de la plongée à saturation bien avant 18m
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A 20m dans précontinent, cousteau expliqué qu’en satu fallait déjà passer au Nitrox.
ça doit être la limite basse du « full air »
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très intéressant merci pour ces explications sur les différés de satu dans les tissus suivant les profondeur, j’ignorais totalement.
Je pensais plutôt, en fait aux problématiques de narcose en très longues plongées (on parle en semaines), j’avais déjà trouvé curieux que Cousteau soit obligé de recourir à des mélanges à des profondeurs auxquelles on plonge habituellement à l’air.
D’ailleurs les gens de la maison haute et basse pouvaient se croiser du coup on leur attribuait des combi et des bouteilles de couleurs différentes afin qu’il n’y ait jamais échange invonlontaire
passionnant,
mais du coup, pourquoi Precontinent 2, pour la station 25m (une semaine de plongée pour cette station) , avait du mélange a aussi faible profondeur ?
merci pour tes retours précis en tout cas 
Et pourquoi ne pas penser qu’on pourrait avoir des habitat dépressurisés ? c’est ce qu’on fait (maintenir un pression « humaine ») dans d’autres lieux ciel et espace… On pourrait prévoir des sas pour sorti ci besoin. Toujours comme le modèle en Espace. ça me semble pouvoir autoriser la longue durée.
Sauf que on parle d’habitat, comme un sous marin. Et si des plongeurs doivent sortir, ils le feront pour une durée de plongée traditionnelle. De plus autre option, on peut prévoir une pression intérieure à l’habitat intermédiaire, équivalente à +1 bar , soit environ 10m de profondeur. Cela pourra permettre à la fois de sortir en bouteille, et de remonter en surface depuis l’habitat si problème.
J’ai visité pas mal de sous marins militaire, mais j’ai aussi eu le plaisir de plonger - a seulement -30m- dans un des rares sous marins civil touristique.
tu comprends très vite que faire ça en tant qu’habitat de longue durée à la 20 mille lieues sous les mers ça va couter très très très cher.
Beaucoup plus que du « sec humide » à équipression avec l’extérieur, ou le différenciel de pression n’est que celui de la colonne d’air du sol au plafond.
Celui que j’ai emprunté coutait déjà quelques millions d’euros, pour une grosse journée d’autonomie avec une dizaine de personnes à bord.
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