« 1 - C’est justement tout l’objet du féminisme, et en partie ce que j’explique plus haut. N’hésitez pas à lancer le mouvement surtout. »
C’est bien que vous évoquiez le féminisme tout comme le phénomène #MeToo" qui sont clairement plus du domaine politique et certaines femmes n’hésitent plus à user de tous les moyens pour atteindre leurs objectifs alors qu’à une époque elles n’hésitaient pas à user de leur charme ou par la manipulation pour atteindre le même but !
J’avais commencé à travailler dans nombre d’entreprises où le féminisme n’en était pas arrivé à de telles extrémités et ce phénomène #MeToo ou #Balanceton porc n’existait simplement pas.
Par contre, des secrétaires (dans le sens le plus générique du terme) usant de leur charme pour obtenir des faveurs en tout genre : postes plus importants, meilleur salaire, ou tout simplement glander, etc… étaient vraiment légion pour peu que l’on ait une position importante dans l’entreprise.
J’avais même travaillé dans une entreprise où il n’y avait que des femmes à l’exception des dirigeants, et je ne parle même pas des femmes de ces mêmes dirigeants qui travaillaient également dans l’entreprise.
Et ben, deviniez quoi ? Il y avait une ambiance exécrable tout simplement parce que les secrétaires couchaient avec les patrons et ces derniers n’étaient plus capable d’exiger d’elles qu’elles fassent leur boulot, tout simplement parce qu’elles les tenaient par les co**les, et les femmes des dirigeants n’en pouvaient plus !
Lors de mon embauche (oh man !!!), c’était la révolution mais ils n’avaient pas trop le choix puisque après presque deux années de retard sur les objectifs (et donc j’imagine plusieurs tentatives d’embauches de femmes…) j’étais le seul capable d’occuper ce poste (dans l’informatique gros système) et à avoir des relations saines et professionnelles avec les prestataires informatiques.
Ces même secrétaires avaient bien essayé de me faire du gringue, mais comme j’avais refusé leurs avances tout en conservant une stricte neutralité, j’avais au final réussi à obtenir leur respect et elles acceptaient même de suivre mes instructions et donc de m’assister, ce qu’elles n’avaient jamais accepté de faire avec leurs patrons…
Lorsqu’il a fallu embaucher une autre personne pour assister un des patrons ainsi que moi-même, là encore c’est posé le choix entre une femme et un homme…
Après avoir assisté à l’ensemble des entretiens : un seul homme et pour le reste des femmes, j’ai suggéré d’embaucher le mec non par sexisme ou par discrimination mais tout simplement parce qu’il me semblait le plus à même d’occuper le poste et qu’il était particulièrement motivé. Son seul problème est qu’il lui manquait un bout de doigt et donc la Direction était très réticente.
Au final, j’ai obtenu gain de cause non sans quelques difficultés…
Et des exemples dans le même genre j’en ai connu à la pelle tout au long de ma carrière et je n’ai jamais mélangé boulot et sexe.
Donc, on passe du stade d’instigatrices à celui de « victimes ».
Après , je ne nie pas qu’il puisse y avoir de véritables abus, mais dans la majorité des cas, de mon point de vue, certaines femmes jouent sur les quiproquos ou sont victimes d’une minorité de femmes assoiffés de pouvoir et qui ne se contentent plus d’une simple « égalité homme/femme » !
Même dans certaines plaintes « d’agressions sexuelles » il y a clairement des abus puisqu’il suffit d’un regard de travers ou d’un compliment pour être accusé d’agressions sexuelles et de comportements déplacés…