Une étude ADEME-Arcep, qui évalue l’impact environnemental du numérique en France, vient d’être mise à jour, et les résultats sont loin d’être encourageants.
Il faudrait déjà commencer par augmenter la durée légale de garantie. 2 ans pour de l’électroménager, des équipements numériques ou pire les voitures c’est d’un ridicule, les fabricants arrêteraient peut-être de mettre des pièces d’usure en plastique par exemple… Idem pour les mises à jour de smartphones même si ca commence à s’améliorer. Certes ca aurait un coût plus important à l’achat mais les consommateurs seraient quand même gagnants et la planète par la même occasion.
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Sauf que les gens ne veulent pas d’augmentation des prix et il ne faut surtout pas demander aux financiers de rogner leurs profils… A partir de là difficile d’améliorer la situation.
Tu as tout à fait raison mais c’est le saint PIB qui ne sera pas content. Si on consomme moins grâce à des produits fiables notre modèle économique va souffrir.
Le vrai problème c’est notre modèle économique qui fonctionne grâce à la sûr production et là sur consommation. Et avec nos amis Américains ça n’est pas près de s’améliorer 
Avec Trump au pouvoir, le worst case scenario est inévitable. On va donc devoir se contenter de subir.
- 1 Il faut continuer les efforts pour augmenter la durée de vie des équipements, et réduire le nombre d’équipements numériques.
2 Mais il faut accentuer les efforts au niveau des usages : avec l’arrivée des nouveaux usages (IA générative notamment) qui risque d’entraîner une explosion de la consommation des data centers dans le monde, il faut insister sur l’importance de la sobriété, c’est-à-dire la remise en question de la nécessité de ces usages.* »*
1 Comme dans une dictature d’un pays du tiers monde
2 Ben oui, la France tiers-mondisée à elle seule va imposer la décroissance écolobobologique au reste de la planète.
C’est encore un cran au dessus de Captain Constat !
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La croissance infinie dans un monde finie est un délire de capitaliste, pas une possibilité physique.
Et plus on attendra avant de réduire la voilure, plus le mur qu’on va se prendre dans la face sera dur…
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L’IA occupe une place relativement importante dans cette problématique environnementale, ce qui me semble disproportionné par rapport à son apport et à son intérêt réel et productif dans la société. Je dis oui à une IA professionnelle qui apporte du rendement mais je suis très sceptique sur son intérêt quand à son élargissement auprès du grand public. En effet, il y a des usages à limiter si l’on est préoccupé par les activités inutilement accrues des datacenters. Il y a bien sûr d’autres pistes de réflexion dans la vie de tous les jours. C’est notre mode de vie en soit qui contribue au dérèglement climatique avec la surconsommation, évidemment.
Il y a un cercle vicieux. On produit « économique » et « électrique » pour limiter le réchauffement climatique mais le problème vient simplement du fait de produire pour produire et créer toujours en encore plus de besoins. Même si l’on s’efforce de limiter les émissions de gaz à effet de serre, on continue de produire des déchets qui polluent sous une autre forme.
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Dans une perspective Malthusienne où l’homme n’est plus très utile, un bon génocide mondial, une bonne guerre bien dégueu seraient un excellent moyen de redonner le pouvoir aux écolos, pardon … je voulais dire à la nature .
J’aime la science et les trucs inutiles, entre des humains en croissance démographique constante produits issus des besoins de croissance du système capitaliste, le choix est vite fait, stérilisation, retour a 2 milliards d’humain et y aura a boire et à manger pour tout le monde avec de l’énergie à gogo et cette fois des écolos intelligents qui aimeront les gros calculateurs alimentés en Fusion nucléaire, les méta matériaux complexes, le transhumanisme, les chimères géhétiques, le plastic, le diesel, l’huile de palme,kfc, le fromage fondu et " HelloquitteHelloquitteX"
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Vite une taxe
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le numérique représente désormais « 4,4 % de l’empreinte carbone nationale, soit 29,5 Mt CO2éq », un chiffre quasi similaire au secteur des poids lourds dans notre pays. Une progression aussi importante qu’inquiétante.
Encore des chiffres analysés à la va vite non ?
On œuvre à faire baisser les plus grosses sources d’émission de CO2, donc forcément si elles diminuent, la part des autres augmente. On peut donc émettre moins de CO2 qu’avant, tout en étant une part plus importante de la pollution globale…
Et on le rappelle aussi, le numérique remplace parfois des sources autrement plus émettrices (comme l’infra IT de ma société qui émet beaucoup plus de CO2 qu’en 2019, mais qui évite les plus de 10kg/semaine émis par ma seule voiture sur les journées où je vais plus au bureau).
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Lesquelles, par exemple ? en Belgique, Toyota a fait 5 ans de garantie pendant longtemps et c’est passé à 10. Et Mazda fait maintenant 6 ans.
Non. Les premiers portable commençait à 50 euros, aujourd’hui, c’est 120 pour un smartphone … Quand à un I Phone, n’en parlons pas !
Sur production, surconsommation, peut-être … Mais, on a tous un smartphone ! Fabriqué en Amérique, non. En Asie du sud est ! Et, c’est encore rien ! Le monde entier va produire ! La Turquie a déjà sa marque de voiture. L’Afrique commence à s’y mettre … Le PIB, de qui ? Si la France poursuit sa désindustrialisation … L’Europe …
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Non. C’est le monde des ressources minières et du tout jetable qui est fini. Le monde, notre monde, fonctionne aux énergies renouvelables, le soleil, et les forces gravitationnelles, depuis 4,5 milliards d’années, et peut encore durer autant. Rien ne se perd, tout se transforme. A nous de nous y adapter.
Sauf qu’ici encore, le raisonnement est partiel. Avant, on avait un téléphone à 50€, qui faisait téléphone. On achetait chaque année son agenda papier à 5€, on achetait un Radio réveil à 30€, un appareil photo compact, une console de jeu portable, une TV dans la chambre et d’autres dépenses qu’on a transposé.
Il y a même des foyers qui n’ont plus de PC tellement tout se fait depuis le smartphone, donc une économie supplémentaire.
Perso mes budgets high tech sont à mon avis plutôt stables sur 20 ans, mais mon budget n’est plus du tout réparti de la même façon : je change moins souvent les produits chers, mais j’achète plus d’objets connectés (montre, enceintes…).
Mon dernier laptop je l’ai gardé 7 ans, mon dernier smartphone 3 ans. C’était impensable pour un profil technophile à l’époque où un téléphone coûtait 50€.