Le procès de trois anciens cadres d’Ubisoft pour harcèlement sexuel et moral s’ouvre aujourd’hui à Bobigny. Un nouveau coup dur pour le fleuron français du jeu vidéo, déjà fragilisé par des difficultés financières.
C’est terrible.
1 « J'aime »
Une belle bande de m*rdes, pas demain la veille que je rachète un de leurs jeux
Si tu veux acheter des jeux n’impliquant que des boites « éthiques », tu vas sérieusement restreindre les possibilités. 
L’industrie en général, mais informatique en particulier, aime bien pressuriser les salariés. Les patrons ont les mêmes exigences pour leurs salariés que pour eux-même, et ils ne comprennent pas que 1000 personnes ne produisent pas 1000x plus qu’une personne.
Ce qu’ils ont fait est inexcusable, ils devraient donc être jugés avec fermeté. Même si là ça a été loin, je pense que dans ce domaine, les employés subissent en effet une grosse pression. On l’a déjà vu à maintes reprises quand certains gros jeux sont sortis un peu trop prématurément parce que « Il faut absolument sortir ça avant Noël et tant pis s’il reste des bugs, faites des heures sup’ j’en sais rien mais sortez-moi ce jeu maintenant ou allez postuler ailleurs ».