Commentaires : Le B.A.-ba des commandes pour GNU/Linux

Les distributions GNU/Linux
actuelles n’ont plus grand-chose à envier à Windows
et MacOS
. Que ce soit Ubuntu
, Mandriva
ou Garuda
, les nombreuses déclinaisons de Linux ont de quoi séduire un large panel d’utilisateurs, même les gamers
. L’usage de la ligne de commande semble d’ailleurs appartenir au passé tant les environnements graphiques ont pris en maturité ces dernières années. Et pourtant, il peut être avisé de connaître l’usage du terminal, cet outil apportant un gain de temps et de confort non négligeable quand on sait le manipuler correctement !

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Attention aux commandes find dans les exemples, il faut mettre des doubles guillements dans le motif de fichier à rechercher, sinon on a des effets indésirables lorsque des fichiers répondant au critère existent dans le répertoire de départ.
Exemple: find . -name « *.txt »
(Mettre le double guillemet entre le *.txt)

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Et à l’opposé, les commandes qui faut éviter / être très prudent avec!

https://doc.ubuntu-fr.org/commandes_dangereuses

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Bravo enfin des infos utiles :slight_smile:

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Ajoutons ; qui permet aussi d’exécuter plusieurs commandes à la suite.

La différence étant que avec && la commande suivante n’est exécutée que si la précédente s’est terminée avec succès. Utile quand elles sont dépendantes l’une de l’autre. Si par contre elles sont indépendantes, il vaut mieux utiliser le ;

Avant de sortir l’artillerie lourde du kill -9, il est préférable de commencer par faire un kill tout court, sans le -9.

La commande kill envoie le signal passé en paramètre au processus spécifié. Par défaut, si aucun signal n’est spécifié, elle envoie le signal SIGTERM, qui demande au programme de se fermer proprement (s’il est bien écrit, le programme va fermer les fichiers qu’il a ouvert, éventuellement enregistrer des données qui devraient l’être, etc…).

S’il ne se ferme pas après un kill simple, on peut escalader avec un -9, qui envoie SIGKILL, le processus est alors terminé sans sommation.

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Les outils ‹ more › et ‹ less › sont très utiles pour lire le contenu d’un fichier. Puis on fait défiler avec les touches flèches. Je préfère ‹ less › pour ça.

more clubic.txt

Le caractère ‹ > › pour faire une redirection de sortie.

dmesg > dmesg.txt

On vous le demande souvent sur les forums de support. Ce sont les messages du noyau au démarrage du système.

L’outil ‹ vi › pour éditer vos fichiers.

vi /chemin/fichier

les touches successives [Echap] [:] [w] [q] pour sauvegarder et quitter.
[Echap] [:] [q] [!] pour quitter sans enregistrer les modifications.

Un petit bouquin sur Unix sur la table de chevet, c’est très bon aussi. Juste avant d’aller dormir, c’est bon pour l’apprentissage.

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Ça sent l’article ressorti des placards (encore ça va pour parler de la ligne de commande), sous Fedora ce n’est plus « yum » depuis un moment mais « dnf » qu’on utilise, bien qu’il reprend la plupart des commandes yum…

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cal 2022

Bonne année à tous ! :slight_smile:

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@Johan_Gautreau merci pour l’article qu’on pourrait dans l’intitulé pousser à « Linux / Unix (macOS, *BSD…) » car les commandes de bases sont du même univers, on retrouve notamment les mêmes shell

Remarque pour la partie fedora, on n’utilise plus « yum » mais « dnf » (et pour l’update, yum update devient dnf upgrade).

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Le B A BA des commandes sous linux aujourd’hui,
=> c’est que l’utilisateur lambda n’a pas à les utiliser.

Aujourd’hui, avec une distribution comme Mageia, TOUT se fait avec l’interface graphique.
J’ai installé Mageia sur des configs pour de jeunes enfants, et une arrière grand mère !
Et ils sont bien plus tranquilles sous Linux. Pas de programmes qui s’installent à leur insu quand on oublie de décocher un truc…

L’utilisateur avancé peut toujours profiter de la ligne de commande si il le souhaite.

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bon article, mais comme dit plus haut, attention, ce n’est pas pour Mr durand au risque d’avoir une brique en or.

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@Voigt-Kampf @xylf merci la ligne a été rectifiée. J’avoue avoir utilisé ces commandes de mémoire, je n’ai plus utilisé Fedora depuis quelques années et en effet le gestionnaire Yum est maintenant obsolète. Merci d’avoir signalé la boulette !

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Exact, j’ai modifié le nom en intro, merci pour le signalement !

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Et pourquoi donc ?

Oui, on peut faire plein de choses avec l’interface graphique, mais personnellement (cela reste mon avis), je trouve que cela peut toujours intéressant d’avoir des rudiments de ligne de commande, au cas où.

Et quoique l’on en dise, certaines choses restent plus faciles à faire depuis la console que depuis l’interface graphique.

Ouais, enfin, ceci dit, si l’utilisateur lambda souhaite devenir plus avancé, à un moment il va devoir découvrir la ligne de commande. ane

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Pourquoi,

Pour préciser que Linux n’est pas réservé a des informaticiens, mais est accessible à tout à chacun.
C’est le sens de mon message.

Ca n’enlève rien à l’intérêt de votre article. Merci

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Faute avouée… est totalement pardonnée :slightly_smiling_face:

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Comme la création en masse de dossiers/sous-répertoires. Véridique. Je mets au défi (que cela soit sous Linux ou sous Windows) de créer des dossiers à la chaine. C’est une problématique dont je suis confronté souvent, autant sous Linux cela ne me dérange pas (le terminal rôde toujours), autant sous Windows devoir passer par des scripts .bat à la c* est plus pénible.

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WSL est ton ami :slightly_smiling_face:

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Vade Retro Satanas !! Utiliser une techno GNU/Linux sous un OS privatif pour faire « comme si »… JAMAIS !!! :face_with_symbols_over_mouth:

:grin:

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Je ne le dirais jamais assez : nos lecteurs sont les meilleurs ^^ Merci !

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