Bah quand tu as pas d’enfant, t’as déjà plein de choses sympa : des soirées tranquilles, des WE tranquilles, des nuits où tu peux dormir, pas d’enfants malades à gérer, la possibilité de prendre des vacances hors période de pointe, de grosses économies, etc… 
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Ça donne envie de traverser la rue (au sens propre) pour changer de boulot.
Même si je ne suis plus concerné par les congés parentaux, je trouve que cela dénote une certaine volonté de vouloir prendre soin de ses collaborateurs et c’est plutôt atrayant.
Ce qui vous agace c’est peut-être qu’aujourd’hui le rapport de force est inversé ?
Eh oui un candidat qualifié c’est à vous de l’attirer et non l’inverse donc oui il a des exigences car la concurrence est rude entre les entreprises.
D’un point de vue strictement personnel, je suis beaucoup plus productif en télétravail qu’au bureau :
- Mon amplitude horaire est bien plus large (le temps passé dans les transports se transforme en temps de travail).
- S’il faut travailler plus tard : pas de problème puisqu’une fois la journée finie, je ne perds pas de temps à rentrer chez moi.
- Pas de distraction chez moi contrairement au bureau où j’ai tout le temps un collègue qui vient me déconcentrer pour parler de son périmètre ou me propose un café.
Si vos salariés sont moins efficaces en télétravail qu’au bureau c’est probablement qu’il y a un manque de motivation.
Vous semblez être exigeant en recrutement mais si vos salariés ne sont pas motivés cela pourrait être lié à plusieurs points :
- Vos exigences de recrutement attirent les mauvais candidats ? Les bons candidats aujourd’hui n’ont que l’embarras du choix donc le genre de réponse : « ici on bosse et au revoir j’ai 10 autres candidats pour le poste » ferait peut-être fuir les meilleurs et vous ne recrutez donc que le fond du panier qui n’a pas d’autre choix que de travailler pour vous car on n’en veut nulle part ailleurs ?
- La motivation disparait avec le temps ? C’est rarement la faute des salariés surtout si cela est généralisé.
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Il y a aussi des choses sympas chez LDLC pour ceux qui n’ont pas d’enfant :
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Quel ton méprisant dans ton discours 
le futur candidat parle d’abord de ces petites exigences
On est un pays avec déjà pleins (trop ?) davantage pour les salariés
il serait pas bon de voir ailleurs avant de se plaindre
Bref, encore un « bon » patron, ça se voit tout de suite…
Si tu portes des valeurs importantes à tes yeux, et c’est tout à ton honneur, alors ouvre le discours vers ce point.
Tu peux par exemple expliquer à ton candidat que tu voudrais parler un peu des valeurs de ton entreprise, car c’est quelque chose d’important pour toi, et que tu veux véritablement les appliquer et pas juste en parler pour t’auto-congratuler.
En tant que recruteur, c’est à toi d’orienter le discours là où tu as besoin pour faire ton choix, ce n’est pas au candidat de nager en eaux troubles pour esprérer parler de que tu attends.
Un recrutement, c’est une discussion qui doit permettre d’identifier si les attentes des 2 côtés (candidat et recruteur) sont remplies, pas un patron qui choisit dans un catalogue le candidat corvéable à merci… Et désolé d’enfoncer des portes ouvertes, tes attentes en tant que patron sont déconnectées des attentes d’un candidat qui sera vraisemblabement salarié. Si t’as pas compris cela, alors confie le recrutement à quelqu’un de plus compétent 
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Pense quand même à les déclarer …
et ils nous le font payer bien cher après le rachat des concurrents mais c’est un autre débat.
c’est peut etre pour ca qu’ils sont plus chers en effet, mais les salariés ont l’air en bien meilleures conditions et beaucoup plus efficaces que ceux pressés comme des citrons.
je suis patron de ma petite pme et oui y’a des valeurs d’entreprise.
Comme celle d’avoir le temps d’écrire sur clubic 40 fois par jour ?
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Vu ton discours les « valeurs » de ta pme c’est avant tout la valeur de ta bourse, y a 0 doute là dessus. Je comprends mieux que tu aies apprécié les propos de l’autre trou du cul qui souhaite un taux de chômage à 50% pour calmer la prétendue arrogance des salariés, vous avez la même mentalité : le travail est un rapport de force qui doit être dominé par le patronat, une bien belle valeur travail 
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Ça ne m’étonne pas de LDLC, une des rares grandes enseignes à être différentes des autres.
Ils sont certes + chers que la concurrence, mais leur service client est excellent (il y a d’autres sites qui font jeu égal évidemment, je pense à son-video, audiophonics, thomann), et garantie de 3 ans tout de même.
Et LDLC ont des vendeurs sympas, qui savent réellement renseigner, et n’ont pas que seul but de nous vendre des trucs (contrairement à Boulanger et Darty par exemple), en tout cas dans ma ville, le seul magasin où on n’a pas l’impression d’emmerder le monde avec nos questions.
Mais est ce que les gens vont venir acheter chez LDLC ou se tourner vers Amazon? Amazon avec ses moyens financiers quasi illimités et donc possibilité de proposer des services haut de tout le monde :
- possibilité de se faire rembourser lorsque le colis est perdu sans discuter
- possibilité de se faire livrer très rapidement
- possibilité d’avoir des prix légèrement mieux
Est ce que cette fleur accordée aux salariés ne va t-il pas creusé l’écart avec Amazon ?
Je vois tellement de pub sur Amazon dans l’IT (ici même), de personnes faisant les louanges de Amazon qu’il ne doit rester plus quelques miettes pour LDLC.
Pour ma part, je suis un fidèle de LDLC (boutique physique comme toi) et j’essaie de limiter mes achats sur Amazon au maximum pour plusieurs raisons (optimisation ficale de sa vache à lait son cloud AWS, …) mais je pense être une exception.
Les gens ont de mon point de vue une vision court terme et préfère payer moins cher une entreprise qui écrase tout le monde (FNAC, franceTV pour le sport, …) que de payer un peu plus cher un produit dans une entreprise plus respectueuse.
La plupart ne sont ils pas des magasins franchisés? Du coup, ces conditions s’appliquent-elles pour les employés d’un magasin franchisé?
Bonne question en effet.
Cela dit, le gros des gens qui travaillent pour LDLC sont sans doute à la maison mère, pas dans les boutiques franchisés : il y a 729 employés dans la maison mère et quelques dizaines dans les filiales, alors qu’il n’y a que 84 boutiques, dont je doute qu’elles aient un effectif moyen proche de 10.
Juste une precision qui merite d etre ecrite: LDLC etend le congés de maternité et de paternité et non le congés parental. Fiscalement et ursaffement different. Les congés de parentalité sont remunérés à 100% dans la limite de 3000 euros par mois (à une vache près). Le congés parental est rémuneré à un max de 450 ou 500€ par mois (la vache, c est maigre)
Bravo à LDLC.
Meme si leur produit sont un chtouille plus cher, je sais au moins que la valeur est bien réparti entre patron et salariés.
Chouette politique effectivement. Ça change des milliardaires qui souhaitent juste cocher les cases de la RSE pour se donner bonne conscience de manière hypocrite. Qu’ils continuent donc comme ça.
Y a un truc qui s’appelle le remplacement, avec de l’intérim, des CDD, de la polyvalence inter services par ceux qui sont en période creuse. Ça fonctionne déjà pour les vacances 
Reste à voir si c’est 20 semaines « obligatoires » ou « jusqu’à 20 semaines », certains pouvant en avoir marre de trainer chez eux au bout de 10 ou 15 semaines à regarder un bébé qui dort la plupart du temps.