L’astéroïde YR4 continue d’intéresser l’ensemble de la communauté scientifique. Et pour le suivre à la trace, les chercheurs vont utiliser le télescope James Webb.
« Un événement qui n’arrivé qu’une fois sur plusieurs milliers d’années »
Qui n’est arrivé qu’une fois… je pense
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Envoyons Bruce Willis avec une bombe atomique !
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j’aurais dit avec une dremel géante pour forer un noyau en titane ou autre matériau plus résistant 
« Un événement qui n’arrivé qu’une fois sur plusieurs milliers d’années »
oui, mais a priori l’évènement de Toungouska serait lié a une entrée atmosphérique d’un tel objet (estimation a 50m de diametre)
en 1908.
et on parle déjà d’un potentiel second un peu plus d’un siecle plus tard.
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C’est encore la faute d’Elon ou de Donald, comme à peu près tout en ce moment, pour sûr! 
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Il est classé niveau 3 sur une échelle de dangerosité allant à 10, ce qui signifie qu’il serait tout au plus un « destructeur de ville. ». Tout au plus, mouais Paris c’est un peu plus de 2 millions de personnes, sympathique ce scientifique.
Oui, mais de manière général, la probabilité qu’un astéroïde tombe sur Paris ou sa petite couronne est encore à peu près 250 000 fois plus faible que la probabilité qu’il touche la Terre.
Et dans le cas présent, les zones potentiellement touchées sont déjà calculées. Paris ne risque à peu près rien. Pour la France, il y a des risques du côté de la Guyane.
Il y a par contre effectivement quelques très grandes villes qui sont à risque :
- Panama,
- Medellin,
- Abidjan,
- Lagos,
- Djibouti,
- Mumbai,
- Nagpur,
- Calcutta,
- Chittagong.
Si le risque se précise, il faudra envisager des évacuations, ça va être un beau bordel 
" L’astéroïde YR4 a un peu moins de 2% de chances de frapper la Terre en 2032 "
pas de chances mais de RISQUES.
En fait, sauf erreur de ma part, on parle ici de statistiques et chance est un terme statistique, chose que n’est pas risque. C’est au demeurant, scientifiquement parlant, la raison de l’emploi de ce mot plutôt qu’un autre. 
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vu la taille il faudrait qu’ils soit relativement proche des cotes pour qu’il represente un risque, qui du coup serait local.
Et pour l’instant, en cas d’impact, les scientifiques s’attendent plutôt à une explosion dans l’atmosphère plutôt qu’un impact au sol.
Ce qui réduit grandement le risque de tsunami si ça se produit au-dessus de l’océan et réduit les dommages (mais augmente par contre la taille de la zone dans laquelle des dommages se produisent) si ça se produit au-dessus de la terre.
Un événement qui n’arrivé qu’une fois sur plusieurs milliers d’années
C’est du français ça ? « qui n’est arrivé », « qui n’arrive », « qui n’arrivera » ? Ou mieux, « un événement unique par millénaire ».
L’IA va résoudre ce problème