Commentaires : La ville de New York pourrait interdire la vente des données de géolocalisation des utilisateurs

New York pourrait devenir la première ville à bannir la vente de données de géolocalisation des consommateurs. La ville a proposé une loi en ce sens.

Ok vpn sur New York ( :laughing:)

Enfin quelqu’un qui réagit

1 « J'aime »

Moi quand je vois cette photo, je me demande dans combien d’années ils finiront par raser Central Park et y construire des gratte-ciels. Yen a sûrement pour plusieurs milliards à vendre dans cet espace !

On collecte déjà nos données dans les hypermarchés et centre commerciaux en France juste parce que nos smartphones de font localisé car la wifi activé…honteux!!! Plus les applications intrusive…

On dit le wifi.

2 « J'aime »

Quand on a huit filles, on dit leS juit filles :slight_smile:

C’est également ce qui fait la valeur de NYC, c’est d’avoir Central Park. Il y avait un projet fou de creuser pour faire du relief:

Une nouvelle preuve que les américaines réfléchissent davantage que les français. On france la plupart des gens ne voient pas le problème, ils n’ont “rien à cacher”. Ca devrait être un sujet politique fort, hors ça n’intéresse pas 3 pèlerins :frowning:

1 « J'aime »

Sauf que, avec un tel raisonnement, tu vivrais aujourd’hui au sein d’une dictature. Va questionner celles et ceux qui la subissent quotidiennement dans leur pays et on en reparle.
Le fait est que les données personnelles doivent le rester, sauf si l’individu donne son accord pour une divulgation plus ou moins limitée. Reste que la majorité des applications sur smartphone s’autorise l’accès à bien trop d’informations, qui n’ont rien à voir avec leur contenu.
Même si un service “gratuit” doit bien se rémunérer d’une manière ou d’une autre, il est inacceptable qu’il s’octroie l’accès aux données sensibles de NOTRE téléphone. Pourquoi alors ne pas leur facturer l’usage de CES données, en particulier ?

1 « J'aime »

Bien au contraire, je ne suis absolument pas hors sujet.
J’ai vu/lu ce type d’argumentaires maintes et maintes fois, comme quoi “je n’ai rien à cacher”, “ma vie n’intéresse personne”, “tant que je n’en subis pas les conséquences”, etc. Bref, le renoncement passif à ses données personnelles est à mon goût un abandon d’une certaine liberté, au profit de sociétés certainement pas philanthropiques, qui vont bien évidemment les monnayer. Déjà, le fait d’attribuer un identifiant publicitaire à une personne est énorme, même si on peut le refuser, certes (les pubs sont alors non ciblées).
Par exemple, à ces débuts, Facebook considérait que toute information enregistrée sur son réseau était forcément sa propriété. Je ne sais si ça à changer aujourd’hui, mais le fait de s’approprier des données privées, sans le consentement réel du propriétaire - à moins de se taper des dizaines/centaines de pages de règlement et d’y comprendre quelque chose - est un comportement à la limite du totalitarisme.
Il est donc parfaitement normal que le politique s’empare du sujet de l’appropriation des données personnelles, à condition de ne pas voter des lois qui lui octroieraient un droit de regard liberticide.

“Tu l’étais, ne t’en déplaise…Mais loin, très loin du contexte de ma réponse”
Et non, tu te trompes. Je n’avais pas à rectifier quoi que ce soit - et n’ai rien exagéré - puisque je suis resté dans la droite ligne de ma première intervention. Je soutiens l’idée que, si à travers l’histoire, tout un chacun avait renoncer à certaines libertés - qui peuvent sembler élémentaires, au premier abord - par accumulation, le totalitarisme/contrôle extérieur se serait substitué à l’idée de démocratie. Ça n’a rien d’excessif.
A aucun moment je n’ai prétendu que ton avis était quantité négligeable, mais ce n’est pas parce qu’il est divergent du mien - ou le mien divergent du tien :slight_smile: - que tu dois asséner l’idée que “Tu as le droit de t’exprimer, mais n’essais pas de faire prélavoir TON avis sur le mien :slight_smile: . C’est ce que tu as essayés de faire avec ton exemple surdimensionné de la dictature, tu as essayé de me convaincre. A la différence où moi, je venais juste expliquer ma vision, sans essayer de convaincre personne.” Cette affirmation est fausse, c’est tout.
Que tu choisisses d’abandonner des données perso à des tiers publiques ou privés est ton choix, grand bien te fasse. Si incidemment, ça n’a pas de conséquences directes sur ta vie, que penses-tu de l’idée que des entreprises puissent te pister - presque - 24H/24 ? Nous vivons de plus en plus dans un monde ultra connecté, où la vie privée le devient de moins en moins. Est-ce un bien ?
Au final, si ce débat te touche peu, la crotte de chien en bas de chez toi/moi m’interpelle étonnamment moins. :wink:

Oui, tu as raison, arrête-là la mauvaise foi… :smiley:

Edit : inutile de modifier ton texte plusieurs fois de suite, ça ne donnera pas plus de poids à tes “arguments”. Bonne continuation également. :wink:

1 « J'aime »

C’est le fondement même de la liberté qui est remis en question.
Imagine simplement que tout (absolument tout) ce que tu fais est enregistré, archivé, connus et partagé. Tu n’as aucune maitrise de l’utilisation des informations, ni de leur conservation. Ils savent qui tu es, où tu es, ce que tu consommes,quand tu dors, où tu travail, ton age, quels sont tes revenus, quel est ton patrimoine, qui sont tes proches, tes amis, ton orientation sexuelle, si tu as des amants/maitresses, tes opinions politiques, ce qui t’influences / te touches…
Imagine maintenant qu’en plus c’est à l’échelle de masse. Imagine aussi le potentiel d’influence. Ajoute la possibilité d’utiliser des outils de manipulation de masse(entre autre l’IA) avec la capacité de connaitre en temps réel les effets…
Et je ne parle pas de déviation type idéologique, simplement de l’influence sur les lois, les courants de pensées…
Les nazys auraient adoré, eux qui ont commencé par recenser les gens de confession juive. Ces derniers n’y voyaient pas de problème. Après tout ils n’avaient rien à cacher, ils n’avaient pas à avoir honte…
La vie privé est un bien précieux et PRIVÉ. Ce n’est pas qu il n’y a rien à cacher, c’est qu il n’y a rien à montrer.
Si on autorise à y déroger, ce doit être pour un objectif connu, définit et unique, d’un intérêt publique et commun, encadré par nos représentants élus, dans le cadre de décisions démocratiques (débattues). En aucun cas pour des intérêts privés, sans finalité définie et changement à la volonté du détenteur, sans partage…
C’est la base de la liberté ! C’est fondamentale.

1 « J'aime »