Commentaires : La tech pour nous sauver du réchauffement climatique ? Comptez plutôt sur les arbres

Le carbone est transformé en matière végétale qui quand elle tombe au sol (feuilles mortes, tout ça), nourrit la vie végétale, animale et microbienne du sol, c’est digéré, transformé, composté, … ça reviens à la terre.

La france est un des rares pays où le taux de forestation est positif, et on émet pas plus de CO² que dans les années 70. C’est bien pour ça qu’on était à fond pour le protocole de kyoto. On aurais empoché le butin des pollueurs payeurs.

La France peut difficilement faire mieux qu’aujourd’hui. On vis dans un des pays les plus propres les gars !

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C’est dingue à quel point tu peux tirer autant de conclusions et d’affirmations d’un de mes posts assez flou dans son développement. Je n’ai pas parlé de responsabilité de l’un ou l’autre, ni même précisé de qui le mode de vie devait être remis en question. Je pense que, individuellement, on demande à Jean Lambda énormément d’effort au contraire de certaines structures où une remise en question serait plus judicieuse et plus favorable à une vraie transition. Quant à la question de surpopulation, c’est la définition même du terme : une population excessive par rapport aux ressources. Or, nous ne manquons, dans les pays où le concept de surpopulation s’agite comme un spectre funeste, de pas grand chose, sinon rien. Donc oui, quand nous serons en surpopulation, nous verrons les famines et les épidémies pointer le bout de leur nez et ce problème se resoudra par la mort de millions de personnes. Je ne le souhaite pas, mais c’est le réel aboutissement d’une surpopulation. Donc, actuellement, nous ne sommes pas dans cet état. Le problème est la surproduction et le partage des ressources. Qu’on explique à Robert l’impact de l’inégalité social sur l’environnement avant de lui offrir un ticket pour une vasectomie. Comme l’a démontré Elinor Ostrom, la première femme à avoir reçu le « Nobel » d’économie en 2009, les sociétés inégalitaires ont tendance à détruire leur environnement, selon une rationalité économique poussant les plus riches à surexploiter les ressources naturelles, du fait qu’ils peuvent en tirer une utilité individuelle et en reporter le coût sur la collectivité. Inversement, elle a montré que des sociétés fondées sur la cohésion sociale, la justice et la gestion publique des biens communs réussissent à exploiter durablement les ressources environnementales. Et puis, personne ne prendra l’initiative de lancer une campagne de limitation des naissances à l’échelle mondiale sans penser aux conséquences liberticides et inégalitaires que cela fera germer dans l’esprit des gens. Finalement, ouvrons les yeux sur le fait (même si je n’encourage en aucun cas à empirer la situation) que la question écologique est surtout la peur de voir disparaître notre espèce. La terre survivra à nos conneries, elle a en vu des pires durant son histoire. Et une fois notre espèce éteinte et les dernières traces de plastique depuis longtemps disparues, les choses reprendront comme si de rien n’était… Et ce sont les futures formes de vie émergeantes qui auront leur chance.

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Non, la décomposition de la matière végétale rejette du CO2.

“Tant qu’un arbre vit et croît, il prélève plus de dioxyde de carbone par la photosynthèse qu’il n’en rend par la respiration. L’arbre pousse et emmagasine le carbone © tiré du dioxyde de carbone (CO2) sous la forme de sucre et d’autres molécules organiques dans le bois. Mais si l’arbre meurt, le bois se décompose lentement et les molécules organiques se transforment à nouveau en CO2, qui est rendu à l’atmosphère.”

Exact d’ou ma remarque sur la surpopulation !

C’est pas la consommation qui pose problème c’est combien de gens consomment

Vous et moi sommes nous prêts à lâcher notre voiture, chauffage; téléphone, pc, courses de supermarché, voyages ? non, moi j’assume je suis un parasite sur terre oui mais je fais du mieux que je peux

le décomposition va en rejeter une partie mais une autre enrichira le sol et la vie avoisinante

Dans tous les cas nous laissons très peu d’arbres morts tomber et se décomposer. Il y a très peu voir pas du tout de forets sauvages en France.
Les arbres sont abattus avant pour servir au chauffage (c’est mal bien qu’il existe certains types de poêles qui limitent la plus part des rejets toxiques autres que le CO2) ou à la construction.