Commentaires : La France abandonne définitivement son indice de durabilité pour les smartphones

Les fabricants ne seront pas autant évalués sur la durée de vie de leurs mobiles que prévu. Malgré la bonne volonté du gouvernement, le projet a été rejeté par un acteur trop imposant : l’Union européenne.

Les bille… l’Europe a parlé. Bein dites donc, ça allait diviser en deux l’argent des lobbyistes.

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Au delà du matos les mises à jour logicielles vont rarement au delà de 3 ans.
Et puis 650€ le fairphone … pour ce prix là on a 6 smartphones, 1 neuf tous les 3 ans donc 18 ans

Bonjour les photos et vidéos en 1080p qui ressemblent à du 360p avec ton matos à 90 euros.

L’idée était nulle.

La plupart du temps c’est pas la durée de vie du matériel qui fait la durée de vie du téléphone. Il devient simplement de plus en plus lent au fil des mises à jour, jusqu’on craque !

des critères qui « ne représentent pas une valeur ajoutée évidente pour environnement » selon l’Afnum, une alliance d’industriels du secteur de la tech…

Tout est dit dans cette phrase

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L’Europe devrait imposer 8 ans de mise à jour de l’OS.
Mon S7 (5,5 ans) marche très bien, mais de plus en plus d’app ne s’installent pas avec Android 8.0, par exemple « mon espace santé », Nuki, Alexa.
Aujourd’hui Samsung propose 3-4 mises à jour d’Android soit grossièrement moins de 3-4 ans. On est loin du compte.
Je viens d’acquérir un A34. Mon S7 me servira en secours.

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L’UE, pour sa part, semble privilégier le point de vue des fabricants.

Bizarre, vous avez dit bizarre ???

A minima, fournir des schémas électroniques de qualités ainsi que les pièces et les puces en livraison rapide serait du bon sens.

Les schémas ne serviraient à rien (en plus de la problématique d’espionnage indus). Vu la compacité des CM des téléphones, tu ne peux pas faire de reprises d’un composant défectueux sur la carte mère sans que ça ne coûte plus cher que la carte mère elle même (et sans même parler du coût d’amortissement des machines nécessaires).

Le vrai problème, c’est la marge délirante des fabricants. Sans cette marge, le coût d’une carte électronique tiendrait sur 2 chiffres, donc tu serais fortement plus enclin à la réparation.

Une loi non lobbysée, aurait été de garantir que:

  1. Le coût d’accès aux différentes cartes et modules soient proportionnelles au coût de revient de ces cartes (par exemple 130% le coût de revient)
  2. Que la somme de tous ces modules ne puisse pas dépasser le prix neuf du produit
  3. À défaut, une taxe de 100% sur le surcoût par rapport au prix neuf
  4. L’obligation de fournir les pièces détachées pendant X années sinon taxe sur l’obsolescence programmée.

Bref, on en est très très loin.

c’est un besoin spécifique