Si l’on en croit la Cour de cassation, on se dirige vers un tribunal augmenté par l’intelligence artificielle, au sein duquel il faudra trouver un équilibre subtil entre l’innovation technologique et la protection des droits fondamentaux
« Hey les gens, y a une nouvelle techno à la mode que personne ne maîtrise et qui a des taux d’erreurs effroyablement élevés, si on l’utilisait pour gouverner des pans essentiels de notre vie ? »
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A force de faire tout et n’importe quoi, n’importe comment, ceux qui se définissent comme « les Elites de la Nation » (faut pas avoir peur…) vont finir par vraiment se prendre un « retour de manivelle » sévère… 
Ca peut être intéressant pour pré analyser les affaires et trouver des biais, des incohérences, des tentatives de manipulation et beaucoup d’autres choses automatiquement. Ca peut également éviter et nettoyer tous les biais émotionnels volontairement insérés et qui n’ont rien à faire dans un jugement à part tenter de forcer la main d’un juge en jouant sur son émotion. Il y a plein de possibilités et vivement que ce soit exploité bien sûr sous supervision humaine et comme aide à la décision.
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L’IA sera utilisée comme un outil plus performant que celui utilisé précédemment, rien de plus logique.
L’IA encadrée, testée, validée par et pour des professionnels, pour des tâches spécifiques : pourquoi pas mais pour des particuliers pour éviter tout effort ou faire danser un canard sur une planche à roulettes : ridicule d’encourager une régression intellectuelle
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Même les étudiants en première année de droit l’ont compris : l’ia est un outil pertinent en effet pour retrouver en un clin d’œil jurisprudence et lois sur un cas donné. Tant qu’on ne lui demande pas d’émettre de jugement.