Le patron de NVIDIA est venu apporter son expertise sur la question de la course à l’IA menée entre la Chine et les États-Unis. Et il n’est pas très optimiste pour les chances de son pays.
Il a oublié de préciser :
« La Chine va gagner la course à l’IA … grâce à nous » 
C’est comme durant la Guerre Froide et la course à l’armement.
Nous sommes en pleine Guerre Froide 2.0 avec la course à l’AGI. Avec la même tension géopolitique, une certaine « hype », une course à la suprématie technologique et les CEO utilisent la peur comme levier pour que les politiques accélèrent les mouvements de planches à billets.
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Jensen Huang fait partie de ces grands dirigeants, comme Musk, ou Altman, dont il ne faut pas croire un traitre mot et dont les déclarations n’ont qu’un but : orienter les marchés et les pouvoirs publics dans le sens qui arrange leurs affaires.
Ici, il ne fait que jouer sur la corde nationaliste dont les USA sont amplement pourvus, surtout en ce moment, pour favoriser les ventes de ses produits dans le seul gros marché qui lui reste, maintenant que la Chine l’a viré.
Quand au terme « course à l’IA », il le veut rien dire et d’ailleurs, Jensen Huang ne s’étend pas trop sur cela. Ce n’est là encore qu’un terme alarmiste pour pousser les USA à investir afin de rester « great again ».
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Trump a poussé la chine à s’équiper plus rapidement de puces IA comme Huawei, et malheureusement pour Nvidia, il n’est
pas question de GPU gaming ici où elle détient le savoir faire nécessaire pour dominer le monde.
Pour l’IA beaucoup peuvent fabriquer des puces équivalentes ou mieux que celles de Nvidia, d’ailleurs Y a déjà des géants
de la tech qui en fabriquent aussi leurs puces (même si c’est dérisoire pour l’instant).
D’un côté comme de l’autre, il est gagnant…