Commentaires : Kinéis déploie les 5 premiers satellites de sa constellation française pour l'Internet des objets

Pour sa première mission intitulée « No Time Toulouse », l’entreprise a envoyé grâce à une fusée de Rocket Lab les premières unités de sa constellation de connectivité des objets (IoT) et à l’identification des transpondeurs des navires (AIS). De petites unités très performantes, qui sont elles aussi made in France !

Allez, on poubellise encore un peu plus l’espace !!

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Pour l’instant, c’est surtout les américains-chinois-russes qui ont « empoubellé » l’espace…
QQN connais un toulousaing?
Je ne comprends pas

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Le sous-titre « La revanche des Toulousaing » m’a bien fait marrer ! :grin:

Encore une belle réussite pour le petit lanceur Electron de Rocket Lab. :slight_smile:
Je l’aime bien ce lanceur avec sa belle robe noire (ça change un peu :smiley: ) qui devient blanche lors du remplissage des réservoirs (glace sur les parois).

Et le bruit des moteurs Rutherford au décollage. :purple_heart:
Autre chose que j’aime bien chez Rocket Lab, les noms et logos de missions.

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OK j’ai pigé Toulousaing c’est la prononciation

recherche google

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SVP pas de french bashing

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Rocket Lab n’est pas Français…

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Non, mais Kineis, oui.

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Ça va couvrir les régions polaires aussi ?

Donc, a priori, ce sont des concurrents de Swarm (https://swarm.space qui a été racheté par SpaceX il y a quelques années). De ce que j’en comprends, le service Swarm est assuré par les satellites Starlink, qui pour l’instant ne couvre pas les régions polaires (mais ça devrait arriver).

Avec un abonnement minimal Swarm (quelque chose comme 5 dollars/mois), on peut transmettre environ 750 messages de 192 octets chacun, et en recevoir 60 par mois, mais pas plus de 10 par jour. C’est un peu limité, mais ça correspond assez à une solution qui m’irait.
En gros, je souhaite avoir une sorte de SMS over Swarm.
J’attends de voir ce que Kineis va proposer.

25 satellites, c’est moins que Iridium, GPS, Glonass ou Galileo. C’est pas ça qui va changer quoique ce soit à la pollution orbitale à côté de Starlink ou OneWeb.

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C’est un Toulousain à qui on a donné un blanc-seing.

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blanc-seing???

16 satellites sur une surface d’environ 10 fois tous les océans du monde, je pense qu’on s’en sortira. Et c’est de l’orbite basse, c’est à dire des trucs qui retombent à brève échéance