Pendant plus de dix ans, personne n’a su qui se cachait derrière Careto, un groupe de cyberespionnage d’élite, capable de voler des documents diplomatiques, de capter des conversations, de contourner les antivirus. Personne, sauf Kaspersky.
Tellement furtifs qu’ils emploient des termes ultra spécifiques à une seule région du monde pouvant les compromettre? C’est trop simple.
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La vraie question, c’est pourquoi Kaspersky - entreprise russe - n’a jamais rien dit.
C’est dans l’article. Kaspersky a une police de non attribution. Ils détectent, ils neutralisent, ils protègent, mais ils ne vont pas plus loin. C’est d’ailleurs la même politique quasi chez tous les concurrents.
Ce sont les chercheurs indépendants ou ceux des états qui en général font l’attribution.